Voici une histoire que j’ai écrite en 2001. On l’a retrouvée en faisant le ménage. Mal imprimée, certains caractères se sont transformés. Assez pénible à lire. Mais je l’ai lu, j’ai aimé ça et je voulais la faire en BD. Mais finalement, en la recopiant et en la transformant en scénario, je me suis rendue compte que je n’aimais pas assez l’histoire pour ça. Tant pis.
Mon idée initiale, en la relisant, était de l’illustrer en utilisant mon propre texte comme canevas. Je l’ai fait. C’est donc devenu un texte presque illisible mais sur lequel les personnages prennent vie.
vendredi 30 avril 2010
mercredi 28 avril 2010
lundi 26 avril 2010
Les restes de déshumance
(Archives, métro 2007)
Nous sommes perdus en forêt. La petite Jo-Jo, la poupée de chiffon saigne du doigt mais elle ne laisse personne l’approcher. Je lui fais la bise sur son bobo.
(Archives, improvisation sur retaille de papier Ingres Fabriano 2004)
Mais moi aussi je suis blessée car je me suis battue contre les hommes-lézards. Mon amie mime la station service à un chien pour lui demander d’aller chercher de l’aide.
(Archives, dessin automatique 2007)
Ça fonctionne, le chien nous ramène un ballon de basket-ball... et un indien homme-moufette qui va pouvoir me soigner, c’est un prof de philo.
dimanche 25 avril 2010
La Gallery
Cette semaine, je suis allé porter des peintures, des planches de bd et des bds à La Gallery. Passez faire un tour!
samedi 24 avril 2010
Chère Jupiter
vendredi 23 avril 2010
Catherine Planet au Quai des Brumes
C’est ma cousine et j’adore ce qu’elle fait. L’autre soir je suis allé la voir en spectacle au Quai des Brumes.
Elle a son myspace ici. Je vous conseille d’aller écouter « M’approcher des nuages ».
C’est ma préférée. Elle me touche beaucoup.
mercredi 21 avril 2010
LE CAVALIER ET LA TOUR JOUENT AU FOU
Le café Pi est un endroit hyper sympathique, toujours plein à craquer, fréquenté par une clientèle d’habitués passionnés d’échec. La mathématicienne qui sommeille en moi ne pouvait rater l’occasion d’aller y montrer ses œuvres.
Je voulais m’inspirer des échecs, ce jeu noble et ancestral, discipline de l’esprit et dialogue muet de l’intelligence à laquelle je ne connais pas grand-chose. Au lieu de prendre le risque d’avoir l’air fou et de dessiner n’importe quoi, j’ai décidé d’utiliser mon ignorance pour en rire. Et voilà ce que ça a donné comme peintures :
Merci à Éric Braün qui m’a donné les toiles.
J’ai le grand plaisir de vous inviter à mon exposition solo qui s’intitule :
LE CAVALIER ET LA TOUR JOUENT AU FOU
Exposition ludique et grotesque au café des joueurs d’échec. Vous pourrez y admirer, entre autre, les cartes du jeu de tarot Sépia, des portraits éclatés et d’autres visions d’une réalité onirique.
Du 28 avril au 28 mai 2010
Vernissage Vendredi 30 avril 18h-23h
Café Pi
4127 BOUL. ST-LAURENT, Montréal
Je voulais m’inspirer des échecs, ce jeu noble et ancestral, discipline de l’esprit et dialogue muet de l’intelligence à laquelle je ne connais pas grand-chose. Au lieu de prendre le risque d’avoir l’air fou et de dessiner n’importe quoi, j’ai décidé d’utiliser mon ignorance pour en rire. Et voilà ce que ça a donné comme peintures :
Merci à Éric Braün qui m’a donné les toiles.
J’ai le grand plaisir de vous inviter à mon exposition solo qui s’intitule :
LE CAVALIER ET LA TOUR JOUENT AU FOU
Exposition ludique et grotesque au café des joueurs d’échec. Vous pourrez y admirer, entre autre, les cartes du jeu de tarot Sépia, des portraits éclatés et d’autres visions d’une réalité onirique.
Du 28 avril au 28 mai 2010
Vernissage Vendredi 30 avril 18h-23h
Café Pi
4127 BOUL. ST-LAURENT, Montréal
dimanche 18 avril 2010
vendredi 16 avril 2010
L’histoire de ma voisine
C'est le genre d’histoire qu’on ose à peine raconter parce que ça ressemble trop à de la fiction. C’est pourtant totalement vrai. Je vais donc changer le nom de la dame en question.
Micheline est notre voisine. Elle boit beaucoup, souvent, pas des très bonnes choses et ne sort pas énormément de chez elle. Sauf parfois pour promener son chat, et c’est quelque chose à voir. C’est vrai que les murs sont des mille-feuilles de cartons chez nous et qu’on entend les voisins se moucher. Donc on imagine à quel point le ton criard de deux vieilles femmes à moitié sourdes peut franchir aisément cette barrière dérisoire. Et c’est assez difficile de savoir ce qu’elles se disent mais paraîtrait-il que Micheline habite avec sa mère. On pourrait croire n’importe quoi parce qu’on n’a jamais vue l’autre. Mais elles ont des voix assez différentes pour qu’on puisse reconnaître deux personnes dans leur dialogue.
La situation semblait endurable, quoiqu’un peu pénible, surtout pour Micheline. Jusqu’à ce qu’un jour elle semble devenir incapable de gérer sa consommation. On l’entendait la nuit trainer ses pantoufles dans les couloirs du bloc en délirant. Et c’est un voisin qui, semblerait-il, s’est décidé à faire une bonne chose, c’est-à-dire appeler la police. Ce jour-là, on a apprend que Micheline demeurait seule depuis tout ce temps… ce qui ne nous étonne qu’à moitié. On se dit qu’elle devait se parler et se répondre à elle-même. Mais, on imagine aussi plein d’autres choses.
mercredi 14 avril 2010
Papillon fleuve
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