lundi 28 février 2011
dimanche 27 février 2011
vendredi 25 février 2011
House of Leaves
Mark Z. Danielewski
Pantheon Book, New York 2000
ISBN: 0-375-70376-4
En anglais, il y a une différence entre les thermes «Maze» et «Labyrinth».
Étrangement, il n’en parle pas dans le livre.
En français, il n’existe qu’un seul mot pour traduire indifféremment «Maze» ou «Labyrinth». Et c’est labyrinthe.
En anglais, un «Labyrinth» désigne un circuit dans lequel il n’y a qu’un seul chemin qui mène invariablement de l’entrée jusqu’à la sortie.
Ce qui veut dire qu’on peut effectivement en sortir en mettant sa main droite sur un mur et en le suivant du début à la fin. Le chemin sera tortueux et long mais ce sera le seul.
Mais pour devenir un «Maze», le trajet doit offrir plusieurs choix à suivre. Donc la méthode de la main droite risque de nous faire tourner en rond indéfiniment.
Pantheon Book, New York 2000
ISBN: 0-375-70376-4
En anglais, il y a une différence entre les thermes «Maze» et «Labyrinth».
Étrangement, il n’en parle pas dans le livre.
En français, il n’existe qu’un seul mot pour traduire indifféremment «Maze» ou «Labyrinth». Et c’est labyrinthe.
En anglais, un «Labyrinth» désigne un circuit dans lequel il n’y a qu’un seul chemin qui mène invariablement de l’entrée jusqu’à la sortie.
Ce qui veut dire qu’on peut effectivement en sortir en mettant sa main droite sur un mur et en le suivant du début à la fin. Le chemin sera tortueux et long mais ce sera le seul.
Mais pour devenir un «Maze», le trajet doit offrir plusieurs choix à suivre. Donc la méthode de la main droite risque de nous faire tourner en rond indéfiniment.
mercredi 23 février 2011
À prendre avec des pincettes
Je cours dans un labyrinthe en bois vernis. Ça sent la résine, l’esprit de pétrole et la colle de charpentier. Ça sent bon mais l’atmosphère est confinée, étouffante et sans air. Devant moi, il n’y a rien. Derrière moi non plus.
Et si j’étais prise avec des pincettes?
Des pincettes à bout dorées me soulèvent dans les airs en tenant le col de mon chandail. Deux visages gigantesques me regardent. Ils parlent avec des voix tonitruantes et étrangement métalliques. Ils disent des choses que je ne comprends pas. Leurs visages sont flous, comme si ils étaient trop proche et à la fois trop gros pour être loin.
Parce que je ne parviens pas à voir ni de loin ni de près. Juste ce qui est devant moi, et ce qui est devant moi n’a aucun sens.
lundi 21 février 2011
Sanguis
Modèle vivant au Dr. Sketchy. Sur leur site, vous pourrez voir quelques photos de la séance et de moi.
Merci à Ms. V et Xander Star qui ont posé pour nous.
vendredi 18 février 2011
Dictionnaire des rêves
Les gens qui ont besoin d’un guru sont des guriste, de la secte du yogourt.
Définition du mot Schloonzer: Des aborigènes qui se mettent en équipe pour faire de la BD sur une île déserte.
La ronce addifiante, comme on en trouve au Maroc. Dans le fond, c’est un porc-épic qui laisse traîner ses aiguilles piquantes en faisant ainsi de long chemin recouverts d’épines. Elles sont enduites de poison.
Un homme latino-américain transporte une petite fille blonde sur ses épaules en disant : « Mañana Mañarda, c’est un joli nom pour une fillette. »
mercredi 16 février 2011
Le moulin des arts
C’était le Moulin à scie Gosselin à Saint-Étienne-de-Lauzon. Il appartenait au peintre Rousseau. Quand j’étais très jeune, J’y passais souvent des journées entières avec mes parents. C’est un endroit magique, auquel je rêve souvent.
Je n’ai pas de photo du moulin des arts. Je n’en ai trouvé aucune sur internet et je crois que ce moulin n’existe plus depuis longtemps. Si vous le connaissez, si vous avez des photos, j’aimerais beaucoup les voir.
lundi 14 février 2011
vendredi 11 février 2011
Chimeris en couleurs
mercredi 9 février 2011
La cathédrale de Fog
Maintenant, je demeure sur le bord de l’eau, dans un paysage de pierres bleues froides, comme la mer et le ciel. Les plages de roches sont léchées par des vagues tumultueuses. Et juste à côté, il y a un grand Cromlech de menhir gris fuselés qui affrontent le vent.
Près de chez moi, il y a une ville au bord du monde.
Nous sortons d’une fontaine à tambour au centre de la ville. Elle est verte émeraude et dorée. La ville est verte et bleue, de pierres ancestrales. Des cathédrales de toutes les sortes encerclent la fontaine et la fontaine est au milieu d’un diagramme de symboles magique.
Je suis avec un archéologue versé dans les arcanes mystiques. Il a déjà été embaumé.
Dans la nef du plus vaste dôme, s'ouvre un orgue gigantesque qui cache Fog, l'ennemi de God. Il est apparu sous la forme d’un titan de pierre rouge dont la peau ressemble à de la lave coagulée en stries érugineuses. Il est le plus effroyable de tous les démons et nous les avons éveillés. C’est terrible, il n’existe nul endroit pour nous cacher. Mais ce n’est pas grave, parce qu’il y a la mer et nous sommes au bout du monde.
Ce n’est pas loin d’où je demeure, mais ce n’est pas pareil.
Parfois, il y a des oiseaux bleus, et des paons à deux têtes. Ils sont farouches, il ne faut pas les approcher, sinon ils vont devenir féroces.
Deux jeunes canards noirs à bec rouge (qui ne ressemblent à rien qui existe), sautent sur mes épaules. Je me déshabille et je vais au bout du quai. Je vais me baigner. C’est l’été, le soleil brille et il fait chaud. L’eau du lac est brune mais claire et gorgée de rayons lumineux qui brillent sur le sable en suspension dans l’eau comme de la poussière d’or. Je vois très bien le fond du lac qui est recouvert de petits cailloux.
Près de chez moi, il y a une ville au bord du monde.
Nous sortons d’une fontaine à tambour au centre de la ville. Elle est verte émeraude et dorée. La ville est verte et bleue, de pierres ancestrales. Des cathédrales de toutes les sortes encerclent la fontaine et la fontaine est au milieu d’un diagramme de symboles magique.
Je suis avec un archéologue versé dans les arcanes mystiques. Il a déjà été embaumé.
Dans la nef du plus vaste dôme, s'ouvre un orgue gigantesque qui cache Fog, l'ennemi de God. Il est apparu sous la forme d’un titan de pierre rouge dont la peau ressemble à de la lave coagulée en stries érugineuses. Il est le plus effroyable de tous les démons et nous les avons éveillés. C’est terrible, il n’existe nul endroit pour nous cacher. Mais ce n’est pas grave, parce qu’il y a la mer et nous sommes au bout du monde.
Ce n’est pas loin d’où je demeure, mais ce n’est pas pareil.
Parfois, il y a des oiseaux bleus, et des paons à deux têtes. Ils sont farouches, il ne faut pas les approcher, sinon ils vont devenir féroces.
Deux jeunes canards noirs à bec rouge (qui ne ressemblent à rien qui existe), sautent sur mes épaules. Je me déshabille et je vais au bout du quai. Je vais me baigner. C’est l’été, le soleil brille et il fait chaud. L’eau du lac est brune mais claire et gorgée de rayons lumineux qui brillent sur le sable en suspension dans l’eau comme de la poussière d’or. Je vois très bien le fond du lac qui est recouvert de petits cailloux.
lundi 7 février 2011
La fée dégueulasse
Page couverture pour Horrifique #72
Il y a une toilette. Mais, dans le fond, c’est seulement un grand tuyau de cuivre qui descend jusqu’en bas de l’immeubles, plusieurs étages plus bas. Et sous la maison, il y a une grande nappe d’eau sombre dans laquelle le tuyau va directement jeter ses ordures. Si je suis choisi, je serai aspirée par le tuyau et j’irai sous l’eau faire mon initiation avec la fée des égouts. C’est une belle ondine à la chevelure sombre et vêtue d’une robe en papier de toilette qui virevolte dans les méandres d’une eau verte et turquoise, lumineuse et trouble à la fois. Elle est blessée, il semble que du sang s’échappe de son cœur.
jeudi 3 février 2011
L’œuvre de beauté en couleurs
Vendredi et samedi, au salon de la marginalité, j’aurai des éditions spéciales de l’œuvre de beauté.
Sur celles-ci, la première de couverture a été colorée à la main. Numérotés et signés, il y en a trois exemplaires à 5$ chacun.
J’ai colorée entièrement cet exemplaire et il est unique. Au prix ridicule de 8$.
Faites vite, il n’y en aura pas d’autres. Et si toutefois ils n’étaient pas vendus, vous aurez toujours la chance de les trouver à l’usine 106u (160 Roy est, Montréal).
À noter que c’est une bd concept. Je l’ai réalisée entièrement durant mes journées de garde à l’usine, les couleurs aussi.
Sur celles-ci, la première de couverture a été colorée à la main. Numérotés et signés, il y en a trois exemplaires à 5$ chacun.
J’ai colorée entièrement cet exemplaire et il est unique. Au prix ridicule de 8$.
Faites vite, il n’y en aura pas d’autres. Et si toutefois ils n’étaient pas vendus, vous aurez toujours la chance de les trouver à l’usine 106u (160 Roy est, Montréal).
À noter que c’est une bd concept. Je l’ai réalisée entièrement durant mes journées de garde à l’usine, les couleurs aussi.
mercredi 2 février 2011
Le salon de la marginalité
Je serai au Salon de la marginalité, vendredi et samedi.
Le Salon de la marginalité se tiendra le vendredi 4 février de 13 heures à 19 heures et le samedi 5 février de 11 heures à 17 heures dans le sous-sol de l'église St-Denis, sortie nord du métro Laurier. Tout est gratuit!
Venez en grand nombre!
J’aurai mes bds, mes papillons et bien d’autres trucs follement intéressants.
Le Salon de la marginalité se tiendra le vendredi 4 février de 13 heures à 19 heures et le samedi 5 février de 11 heures à 17 heures dans le sous-sol de l'église St-Denis, sortie nord du métro Laurier. Tout est gratuit!
Venez en grand nombre!
J’aurai mes bds, mes papillons et bien d’autres trucs follement intéressants.
Indigestion canonique II
Une peinture que j’avais déjà exposée une fois. Et en récoltant les critiques à son sujet, j’ai réalisé qu’elle n’était pas terminée. Maintenant, elle l’est. Et à l’usine 106u (160 Roy est Montréal) pour le mois de février.
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