lundi 30 décembre 2013
samedi 28 décembre 2013
Soya et la mésange
Voici une petite installation que j'ai créee pour l'offrir en cadeau à Noël à des gens qui aiment bien les petits chiens et les petits oiseaux. En arrière plan, un dessin que j'ai fait à un endroit que ces personnes aiment beaucoup. J'ai fabriqué les animaux en feutre à l'aiguille.
jeudi 19 décembre 2013
3 jumeaux avec des sombreros qui se font manger par des gros chiens blancs
Il y a un métro spécial le jour de
l’Halloween. Si on prend la bonne rame et à la bonne heure, il fera un chemin
différent. C’est la seule chance qu’on a, cela ne se reproduira pas dans
l’année.
J’entre dans le bon wagon en question et le conducteur me dit qu’il va
partir dans précisément 13 minutes. Je me demande si j’ai le temps d’aller
porter mon sac de natation chez moi avant le départ. Mais j’évalue qu’il me
faudra passer au travers un autre métro pour me rendre chez moi et que j’ai peu
de chance d’y parvenir à temps. C’est trop loin et je n’en ai pas vraiment
besoin. Donc je m’assoie sur le bord d’une fenêtre et je commence à somnoler.
Je me réveille quand le métro démarre. Il avance lentement pour nous permettre
de voir les décors car il emprunte un corridor inhabituel par lequel on peut
voir un autre métro stationné fait avec des blocs lego surdimensionnés. C’est
plein de personnages en lego géants. Il y a des parodies macabres de dessins
animés, comme les 3 jumeaux avec des sombreros qui se font manger par des gros
chiens blancs.
À la première station, des zombies embarquent dans le véhicule.
Ils sont silencieux et demeurent debout. Il y a un cyclope avec un gros œil et
une tuque bleue. On dirait que ce sont des acteurs avec des masques en latex.
Un peu avant de descendre à la deuxième station, un zombie dit à l’autre :
« C’est rien ça, ici il faut faire 7 ans. Mais à l’autre, c’est 10
ans ».
Je ne parviens pas à deviner de quoi ils parlent. Mais ils sortent
et sont remplacé par une étrange foule d’écorchés et de gens difformes dont les
costumes semblent fait en coton molletonné. Un couple s’assoit sur la rangée de
bac où je suis installée, l’homme s’est placé entre sa compagne et moi. Elle a
2 petits toutous en tissus qui semblent être ses bébés. L’un est en forme de
gros œil avec des cils en feutrine et l’autre ressemble à une dent blanche, les
racines vers le haut, aux coutures noires apparentes avec un œil et un sourire.
Les deux petits bébés sont curieux et veulent s’approcher de moi. Dans le fond,
c’est la madame qui les fait bouger avec
ses mains (comme un enfant qui joue avec ses figurines). Je regarde par la
fenêtre mais dès que je me retourne vers elle, ils vont se cacher. Après
quelques répétitions de ce manège, j’ai le sentiment que je dois dire quelque
chose et je dis : « Sont cutes! » La femme semble mécontente et
elle cache ses peluches avec un air renfrogné. Je me demande si je n’aurais pas
plutôt dû dire : « Ils sont affreux! ». Celui que je crois
être son mari, et qui est assis à côté de moi, commence à me parler et à me
poser des questions très personnelles. Il me demande : « Êtes-vous
mariée? »
Je lui réponds : « Non, pas
exactement. » Il me dit que, si je
voulais me marier, il aimerait être celui qui me conduira à l’autel… malaise… et
il flatte mon ventre.
C’est la troisième station et, juste avant de
descendre, il enlève sa cagoule. Sous son visage d’écorché, on peut voir que
c’est un zombie.
dimanche 15 décembre 2013
jeudi 5 décembre 2013
L’aile des pestiférés
Je suis couchée dans un couloir d’hôpital et
je dors. Quand je m’éveille, je sais que je dois me rendre dans l’aile des
pestiférés et je cherche mon costume de docteur de la peste. Je trouve le
masque d’oiseau et les lunettes mais la robe et les gants sont dans le
sas.
Il y a un panneau de commande avec des boutons rouges devant la porte qui
conduit à l’aile interdite. On doit les actionner en cas d’urgence si les
malades de la peste menacent d’envahir le reste de l’hôpital. Lorsqu’on presse
l’un des interrupteurs rouges, un lourd mur coupe-feu en métal s’abaisse et le
corridor derrière explose. Je m’aventure dans le corridor sombre et je cherche
le sas. Au bout, il y a deux pièces équipées de boutons d’urgence elles aussi.
Je ne sais pas laquelle est la bonne, je ne vois rien. Mais j’entends les voix
de deux femmes qui parlent derrière l’une des portes closes. J’ai peur, je
remonte rapidement le corridor et je referme la porte derrière moi.
Les deux
femmes m’ont entendu et elles m’ont poursuivit jusqu’à la porte qu’elles ne
peuvent pas ouvrir de l’intérieur. Mon ami me montre quel code entrer sur le
panneau de contrôle pour pouvoir parler au deux femmes et savoir ce qu’elles me
veulent. Il faut taper les initiales du nom de l’hôpital. Les deux femmes me
disent qu’elles sont les infirmières de garde dans le sas et qu’elles ont la
tâche de le surveiller. Mais cela fait une éternité que personne ne les a relevées
et elles ont besoin de borax pour désinfecter les seuils du sas.
Mon ami les
fait sortir et nous allons dans l’hôpital chercher du borax. Je sais où il est
et j’offre de leur en trouver. Chemin faisant, les superviseur voient les deux
infirmières du sas et semblent comprendre que quelque chose ne va pas avec
l’aile des pestiférés. Ils actionnent donc les boutons rouges de destruction
des corridors 66 à 91 et 109 à 121. Les
murs de métal s’abaissent.
On passe par la cafétéria qui nous conduit enfin jusqu’à la salle du borax. Les deux
infirmières courent devant moi mais elles n’osent pas entrer dans la chambre
spéciale, de peur de se faire appréhender. C’est une grande pièce vitrée avec
des grands carreaux de céramique bleu foncé sur le sol. À l’intérieur il y a
une gigantesque montagne de borax et des gens avec des râteaux qui sont tous
vêtus de blanc. Ils portent une cornette, robe et tablier, protecteur de
manchette et gants. Ils raclent et aplatissent la montagne de poudre et font
des petits monticules que les gens viennent chercher.
Je n’ai pas le droit d’y
aller moi non plus mais j’offre aux infirmières de leur en prendre. Je me
dépêche de mettre un petit monticule dans un pot de yogourt propre. Cela ressemble
à de la cire d’abeille blanchie en flocon ou du camphre. Les gens en cornette
viennent me dire de partir mais me laissent me sauver avec mon petit pot de
borax.
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