vendredi 28 août 2015
dimanche 23 août 2015
Il veut nous tuer nous aussi, mais nous refusons
Je
suis avec les derniers Mayas. Ce qui est bizarre, c’est que je
parviens à vivre dans une tribu primitive tout en sachant que
j’appartiens à une civilisation supposément moderne. Je m’intègre
parfaitement et personne ne me pose de question, tout est normal,
c’est un rêve n’est-ce-pas.
Donc je vis avec les Maya mais il ne reste que nous trois, nous sommes des survivant car notre peuple vient tout juste d’être exterminé par je-ne-sais-plus-trop-qui. Nous voulons voir la ville. Un homme sage et nu qui ressemble aux nôtres dit qu’il va nous y amener et nous guider. Quand je lui demande pourquoi il veut faire ça, il me répond que c’est parce qu’il est celui qui a voulut exterminer notre peuple. Et il se dit qu’en venant vivre parmi nous et en facilitant notre intégration à la vie en société, il va se racheter, supposément. C’est ce qu’il pense, du moins et personne ne le met en doute.
À ce moment, d’autres guerriers survivants de notre tribu viennent nous rejoindre en passant par la rivière. Selon eux, nous devons tous mourir, être exterminés jusqu’au dernier. Ils sont tout sales, couvert de boue noire des pieds à la tête. Le sorcier, qui semble être le chef, ressemble davantage à un amérindien des plaines d’Amérique du nord. Il a des longs cheveux blancs et une coiffe avec des cornes de bison. Par contre, sa veste est rose et mauve avec la coupe d’un manteau de ski des années 1980.
Il commence à tuer les guerriers qui l’accompagnent en leur tranchant la tête d’un seul coup avec son épée dont la lame est incroyablement acérée. Quand je lui demande en quelle année nous sommes, sa réponse me surprend. Il dit : « En 1928 » Et cela m'étonne car j’aurais cru que les Mayas étaient exterminés depuis bien plus longtemps. Je me dit que les survivant vont peut-être même être encore vivant quand je vais naître. Il veut nous tuer nous aussi mais nous refusons. Donc il massacre les derniers de sa tribu en leur enfonçant dans le cou la pointe d’un casse-tête iroquois.
Donc je vis avec les Maya mais il ne reste que nous trois, nous sommes des survivant car notre peuple vient tout juste d’être exterminé par je-ne-sais-plus-trop-qui. Nous voulons voir la ville. Un homme sage et nu qui ressemble aux nôtres dit qu’il va nous y amener et nous guider. Quand je lui demande pourquoi il veut faire ça, il me répond que c’est parce qu’il est celui qui a voulut exterminer notre peuple. Et il se dit qu’en venant vivre parmi nous et en facilitant notre intégration à la vie en société, il va se racheter, supposément. C’est ce qu’il pense, du moins et personne ne le met en doute.
À ce moment, d’autres guerriers survivants de notre tribu viennent nous rejoindre en passant par la rivière. Selon eux, nous devons tous mourir, être exterminés jusqu’au dernier. Ils sont tout sales, couvert de boue noire des pieds à la tête. Le sorcier, qui semble être le chef, ressemble davantage à un amérindien des plaines d’Amérique du nord. Il a des longs cheveux blancs et une coiffe avec des cornes de bison. Par contre, sa veste est rose et mauve avec la coupe d’un manteau de ski des années 1980.
Il commence à tuer les guerriers qui l’accompagnent en leur tranchant la tête d’un seul coup avec son épée dont la lame est incroyablement acérée. Quand je lui demande en quelle année nous sommes, sa réponse me surprend. Il dit : « En 1928 » Et cela m'étonne car j’aurais cru que les Mayas étaient exterminés depuis bien plus longtemps. Je me dit que les survivant vont peut-être même être encore vivant quand je vais naître. Il veut nous tuer nous aussi mais nous refusons. Donc il massacre les derniers de sa tribu en leur enfonçant dans le cou la pointe d’un casse-tête iroquois.
samedi 15 août 2015
Le mathématicien Koch
Je
suis dans l’édifice d’une grande société d’état qui connait
plusieurs grandes coupures budgétaires. Ils devront donc démonter
leur robot sur roulettes qui s’occupait du service à la clientèle.
Cela me fait de la peine, je l’aimais beaucoup leur robot.
On
décide de prendre la fuite et de l’emmener avec nous dans les
ascenseurs. Mais on ne peut pas s'enfuir sans amener avec nous le mathématicien Koch car c'est le concepteur
du robot. Je suis une artiste et je connais le mathématicien, ce qui surprend tous le monde.
Quand on entre dans la cabine, le robot me
demande si Koch est mon copain. On lui répond par un silence lourd de
malaise. J’imagine que le robot doit calculer la répercussion de cette question sur nos attitudes et en tirer plusieurs déductions
sur la portée d’un dialogue. C’est ainsi que fonctionne son
intelligence artificielle.
Les gens qui veulent nous empêcher de fuir bloquent l’ascenseur. Et nos amis nous attendent en
haut. Ils ont ouvert la porte du niveau et on peut les voir car nous
avons enlevé le plafond de l'ascenseur. Heureusement, je sais quoi faire car ça
m’est déjà arrivé. Il fait noir mais Koch a une lampe de poche
allumée. C’est plus rapide. J’aurais pu prendre la mienne mais
je lui emprunte la sienne.
J’ouvre le premier panneau de commande
qui est sous l’une des plaques du mur. Il en sort une rangée de
languettes de couleurs portant chacune un symbole différent. Je ne
me souviens plus laquelle il faut tirer. J’en prends une au hasard
mais cela dépressurise la cabine et il n’y a plus d’air. Oups!
Ce n’est pas ça. J’en essais une autre dont le petit symbole est
un rouleau à peinture, c’est le dispositif pour repeindre le
plafond. Quand je l’actionne, cela fait ouvrir une autre connexion
au niveau du sol. Encore une fois, je ne sais pas quelle est la bonne
entrée. Derrière le mur, il y a des tuyaux et j’en débranche un.
Je sais que si je le branche sur la bonne prise, un mécanisme
injectera de l’air comprimée dans le tube et cela propulsera la
cabine vers le haut.
Mais là ça devient trop compliqué, je me suis réveillée avant.
vendredi 7 août 2015
Bd de petites bibittes
Voici l'oeuvre que j'ai fait pour notre exposition sur le recyclage, upcycle IV à la galerie Le repaire des 100 talents.
J'ai fait ça avec les la peinture à l'huile mélangée avec de l'alkyde, puisque le volet a initialement été peint à l'alkyde.
Il mesure 21" de long, par 9 "¼ de haut par 1"¼ de profondeur.
En juillet 2015.
Une belle patine comme celle-là, voir si j'allais passer à côté.
On passe des heures et beaucoup de techniques pour recréer ce que le temps et les intempéries (surtout ici) créent avec naturel. Et c'est toujours le naturel qui est le mieux.
Voir si quelqu'un voudrait vraiment acheter un vieux volet qui trainait dans la rue. Vous pariez?
samedi 1 août 2015
Celui qui n’a pas de nom n’existe pas
Le
serviteur a revêtu le linge du prince. Il se fait de nombreuses
entailles dans la peau avec une longue épée à lame très effilée.
Si bien que son corps est couvert de sang et ses paumes sont toutes
rouges. Le prince comprend que son serviteur agit ainsi pour faire
croire que le prince s’est battu avec l’épée.
Une femme sauvage
vole l’arme et s’enfuit avec. Elle se fait tuer par des bandits
dans une forêt d’arbres si grands qu’on ne voit que les troncs
immenses qui disparaissent dans la voûte du ciel. Les premières
branches portant des feuilles sont si hautes qu’elles sont
recouvertes par les nuages. La lumière blanche et grise, froide
comme un reflet d’argent, nous montre que c’est l’hiver. La
voleuse morte, sa main se pose doucement contre l’épée tombée au
sol, parmi des ronces brunes. Sa main délicate est blanche avec de
longs doigts. Son corps retournera à la déesse car les oiseaux vont
le manger.
Celui
qui n’a pas de nom n’existe pas. Car Belenos sait le nom de tout
ce qui a existé depuis la création et de tout ce qui existera.
Inscription à :
Articles (Atom)