On
demeure dans un très grand dortoir situé à l'intérieur d'un
gratte-ciel gigantesque.L'escalier prend toute la place dans l'immeuble et il y a une cellule avec un lit à chaque
étage. C'est tout un petit monde.
Et moi je suis en retard à mes cours de CSST. J'en ai d'ailleurs manqué plusieurs. Ça va me coûter cher donc je décide d'aller me cacher derrière la boucherie, dans le quai de débarquement. Je dois me réfugier derrière la porte car ils ne veulent pas que je soit là.
C'est dangereux car il font entrer par la porte du doc une machine minière grosse comme une pelle mécanique en forme de main articulée. Elle a tué un homme et elle est couverte de sang. Le boucher la démonte un doigt à la fois. Chaque doigts est plus grand que lui. Quand il les enlève ils se détendent et risquent de blesser ou tuer quelqu'un car ils sont plein de ressorts, d'engrenages et de lame de scies radiales. Le sang tombe par terre et imprègne le sol comme si c'était de la mousse. Les taches grossissent et se déplacent, il y en a jusqu'au plafond. Il ne faut pas que le sang nous touche, nous fuyons jusque dans nos chambres, plusieurs étages plus hauts.
Mais la tache imprègne le béton et monte jusqu'à nous. Elle touche notre voisin, qui était déjà un peu idiot au départ; un gros bonhomme aux cheveux en filasses. Il devient méchant et féroce comme un zombie. Il nous poursuit. Je choisis mon toutou de loup noir pour me donner du courage et je me sauve en montant les étages jusqu'en haut de la tour. J'arrive jusqu'au dernier étage où habite un gars roux vêtu d'une combinaison jaune.
Je lui demande s'il a dans sa chambre une porte qui mène vers l'extérieur. Il me montre la porte en rajoutant que je ne voudrais pas passer par là. Au travers la fenêtre je vois les cheminées multicolore sur le toit du gratte-ciel incroyablement haut et où il souffre un vent violent capable de m'arracher du sol aussitôt. Mais je sais que je suis dans un rêve donc je peux passer par là et je prend le garçon jaune par la main pour l'amener avec moi parce que je me dis que le gros zombie qui me poursuit va l'attaquer sinon.
Nous volons autour de la bâtisse et nous voyons qu'au sol il y a une ville magnifique aux couleurs vives qui fait un vif contraste d'avec le bloc de béton poussiéreux et terne que je viens de quitter.
Je me dis que je veux voir des belles choses reposantes qui vont me calmer et faire en sorte que je ne me réveille pas terrifiée de ce cauchemar. Je vogue toujours au dessus de la ville joyeuse qui s'étend en rosaces de petits points roses entouré de feuilles et de plein de jolies formes. Quand j’atterris, la ville devient un jardin et ensuite un forêt à lumières d'or où des femmes aux coiffes majestueuses de cheveux bleus nuit et panaches de cerf se promènent avec un corps de paon aux plumes irisées. D'autres Maries Poppins en robes pâles fleuries de couleurs tendres dansent ensembles avec leurs crinolines qui font des motifs de flocons tourbillonnants comme dans les animations de «bagatelles » pour les enfants communistes Russes. Et cela m'amène jusque dans une belle maison typiquement japonaise avec plein de Geisha. Elles vont m'habiller comme elle. Je choisis parmi des monticules de kimonos de soie mordorée, un qui est noir à capuchon avec des broderies bleue et vertes et en dessous un autre vert amande. Elles me disent qu'elles l'avaient repassé plus tôt aujourd'hui pour qu'un homme le porte et donc elles lui avaient fait des plis plus coupant et la forme d'une poitrine. On me baigne dans un grand bassin de céramique bleu pour me peigner les cheveux sous l'eau.
Et moi je suis en retard à mes cours de CSST. J'en ai d'ailleurs manqué plusieurs. Ça va me coûter cher donc je décide d'aller me cacher derrière la boucherie, dans le quai de débarquement. Je dois me réfugier derrière la porte car ils ne veulent pas que je soit là.
C'est dangereux car il font entrer par la porte du doc une machine minière grosse comme une pelle mécanique en forme de main articulée. Elle a tué un homme et elle est couverte de sang. Le boucher la démonte un doigt à la fois. Chaque doigts est plus grand que lui. Quand il les enlève ils se détendent et risquent de blesser ou tuer quelqu'un car ils sont plein de ressorts, d'engrenages et de lame de scies radiales. Le sang tombe par terre et imprègne le sol comme si c'était de la mousse. Les taches grossissent et se déplacent, il y en a jusqu'au plafond. Il ne faut pas que le sang nous touche, nous fuyons jusque dans nos chambres, plusieurs étages plus hauts.
Mais la tache imprègne le béton et monte jusqu'à nous. Elle touche notre voisin, qui était déjà un peu idiot au départ; un gros bonhomme aux cheveux en filasses. Il devient méchant et féroce comme un zombie. Il nous poursuit. Je choisis mon toutou de loup noir pour me donner du courage et je me sauve en montant les étages jusqu'en haut de la tour. J'arrive jusqu'au dernier étage où habite un gars roux vêtu d'une combinaison jaune.
Je lui demande s'il a dans sa chambre une porte qui mène vers l'extérieur. Il me montre la porte en rajoutant que je ne voudrais pas passer par là. Au travers la fenêtre je vois les cheminées multicolore sur le toit du gratte-ciel incroyablement haut et où il souffre un vent violent capable de m'arracher du sol aussitôt. Mais je sais que je suis dans un rêve donc je peux passer par là et je prend le garçon jaune par la main pour l'amener avec moi parce que je me dis que le gros zombie qui me poursuit va l'attaquer sinon.
Nous volons autour de la bâtisse et nous voyons qu'au sol il y a une ville magnifique aux couleurs vives qui fait un vif contraste d'avec le bloc de béton poussiéreux et terne que je viens de quitter.
Je me dis que je veux voir des belles choses reposantes qui vont me calmer et faire en sorte que je ne me réveille pas terrifiée de ce cauchemar. Je vogue toujours au dessus de la ville joyeuse qui s'étend en rosaces de petits points roses entouré de feuilles et de plein de jolies formes. Quand j’atterris, la ville devient un jardin et ensuite un forêt à lumières d'or où des femmes aux coiffes majestueuses de cheveux bleus nuit et panaches de cerf se promènent avec un corps de paon aux plumes irisées. D'autres Maries Poppins en robes pâles fleuries de couleurs tendres dansent ensembles avec leurs crinolines qui font des motifs de flocons tourbillonnants comme dans les animations de «bagatelles » pour les enfants communistes Russes. Et cela m'amène jusque dans une belle maison typiquement japonaise avec plein de Geisha. Elles vont m'habiller comme elle. Je choisis parmi des monticules de kimonos de soie mordorée, un qui est noir à capuchon avec des broderies bleue et vertes et en dessous un autre vert amande. Elles me disent qu'elles l'avaient repassé plus tôt aujourd'hui pour qu'un homme le porte et donc elles lui avaient fait des plis plus coupant et la forme d'une poitrine. On me baigne dans un grand bassin de céramique bleu pour me peigner les cheveux sous l'eau.
Je
suis de retour au dortoir avec l'autre fou. Mais il dit que ça va
mieux maintenant. Et il a effectivement l'air un peu moins idiot. Il
est correct et c'est juste après un épisode de diarrhée qu'il
redevient fou, car ça lui fait mal. Il dit ça en sortant des
toilettes. Alors j'ai peur et je me sauve aussitôt. Mais je ne monte
pas les escaliers par les marche cette fois-ci (j't'écoeurée là).
Je saute en hauteur pour franchir plusieurs paliers à la fois.
J'arrive jusqu'à un gars qui reste dans un plus gros paliers que les
autres. Il vit avec plein de petits chiots. Il les aime ses petits
chiots mais il est triste à la fois car ils finissent toujours par
se jeter dans le vide pour fatalement se tuer car ici on est à
plusieurs dizaines d'étages de haut. Il dit qu'à l'avenir il
prendra des chats car il a l'impression que les chats ne feront pas
ça.
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