Comme son titre le laisse entendre, l’intrigue s’élabore autour de notions de physique théorique.
J'aime toujours les romans de José Carlos Somoza. la caverne des idées s'orientait autour conceptions philosophiques. Clara et la pénombre demeure mon préféré. Forcément, me direz-vous, car le récit aborde l'univers des arts visuels. Les toiles étant des êtres humains, détruire une œuvre d’art est devenu un meurtre. Tandis que dans La dame numéro 13 c'est la littérature qui a le pouvoir de tuer.
Les couvertures de ses livres sont souvent illustrées par des œuvres de Leonor Fini. Une autre raison qui en fait définitivement l'un de mes auteurs favori.
2 commentaires:
Bonsoir,
J'ai abordé l'auteur par "Clara et la Pénombre", que j'ai trouvé brillant, sur le plan littéraire, et magnifique, en ce qui concerne l'imagination artistique (j'ai une formation en histoire de l'art). Je suis actuellement plongée dans "La théorie des cordes"... et je commence à avoir peur d'éteindre les lumières de mon deux pièces...
Ce sont aussi les couvertures des éditions Babel qui m'ont attirée vers cet auteur... Comme quoi...
Nathalie
PS : à propos de l'homme aux yeux blancs (un des trucs qui me terrorisait dans mon enfance, ça tombe bien, tiens!) : il n'a PAS de visage (en tout cas, à la page 366, il ,n'en a toujours pas)
Oui, effectivement Nathalie, tu as raison pour l'homme aux yeux blancs. C'est plutôt moi qui me suis laissé aller à délirer. Je ne colle pas toujours fidèlement à l'histoire. Je tiens plutôt à laisser émerger les images que ces textes vont m'évoquer. Dans ce cas-ci, je ne sais pas vraiment pourquoi, cette vision est née de ma lecture, avec ce visage étrange et un peu grotesque.
J'espère que tu as aimé le roman finalement. Moi, il m'a donné envie de lire "l'univers élégant" de Brian Greene. Je ne l'ai pas encore terminé, je suis rendue à la moitié mais c'est fascinant.
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