Ça ne paraît pas encore mais je suis passée à une vitesse supérieure. J’ai décidé de publier Chimeris –Vaar– Salammasca pour le prochain festival de BD de Québec. Elle va compter 60 planches, divisées en trois chapitres égaux (faites le calcul).
J’ai terminé le premier chapitre hier… et j’ai été très sage.
Je vais commencer le deuxième chapitre dans quelques minutes d’ici.
Si vous voulez voir un peu comment je travaille, je vous conseille d’aller regarder l’entrevue de moi qu’il y a sur Alientv.org. (dans la section petite entrevues).
jeudi 30 avril 2009
mardi 28 avril 2009
Les babouches d’Abou Kassem
Je vous présente fièrement mon nouveau livre.
Vous êtes cordialement invité au lancement.
Voici quelques études et recherches que j’ai fait pour bien me plonger dans l’ambiance des milles et unes nuits.
Et mon image favorite.
J’aime beaucoup celle-là aussi.
Publié aux Éditions de l’Isatis.
Vous êtes cordialement invité au lancement.
Voici quelques études et recherches que j’ai fait pour bien me plonger dans l’ambiance des milles et unes nuits.
Et mon image favorite.
J’aime beaucoup celle-là aussi.
Publié aux Éditions de l’Isatis.
lundi 27 avril 2009
La première solitude
Quand il brise ses ailes
Un serpent change de peau.
L’ombre d'une étoiles
Dessine le corps d’un homme
Quand il fait la croix.
Dira
Que c’est déjà la nuit
Sera
L’empreinte de nos pas.
Le sentier des nonnes
Chuchote
Un baiser volé.
Merci à Luce et Andréane qui ont posées pour nous aux ateliers de modèle vivant en duo de l'espace Ars Longa.
Un serpent change de peau.
L’ombre d'une étoiles
Dessine le corps d’un homme
Quand il fait la croix.
Dira
Que c’est déjà la nuit
Sera
L’empreinte de nos pas.
Le sentier des nonnes
Chuchote
Un baiser volé.
Merci à Luce et Andréane qui ont posées pour nous aux ateliers de modèle vivant en duo de l'espace Ars Longa.
dimanche 26 avril 2009
vendredi 24 avril 2009
L’homme arbre
mercredi 22 avril 2009
Souvenirs du Festival BD -2
C’est de la faute au journal Pilote (entre autre) si j’ai décidé de me consacrer à la BD. Plus précisément à cause de certains auteurs que j’ai découverts à un âge où on m’aurait préféré des lectures plus sages. Moebius, Bilal et Druillet, pour ne nommer que ceux-là, mais aussi Tardi. J’ai assisté à sa classe de maître avec grand enthousiasme, et je buvais littéralement ses paroles.
C’était rassurant de savoir qu’il emprunte les chemins de ce que certains nomment mes «excentricités». Par exemple, il ne copie jamais de photos, dû à la distorsion que cela produit (une photo copiée, ça paraît toujours). Et ensuite, ses crayonnés se limitent le plus souvent à quelques indications scéniques (attendez de voir les miens, c’est du bonhomme allumette).
Mais aussi, et surtout, c’est incroyablement motivant de revoir, années après années, les copains de la BD qui perdurent et persévèrent.
Le front froid, qui publiaient cet année leur deuxième opus, toujours de grande qualité.
Luca Jalbert, lui-même personnage de bande dessiné.
Copinet copinot, communiquant leur plaisir sans cesse renouvelé à faire de la BD.
Jean-Sébastien Bérubé, à qui je souhaite la meilleure des chances, il le mérite bien.
Et Joel Sim pour LE BOB, dans un dessin à deux mains sans lequel le festival ne serait pas ce qu’il est.
J’en oublie et j’en passe qui ne sont pas les moindres.
Mais je me console en sachant qu’on se reverra bientôt pour le Rendez-vous des publications parallèles.
C’était rassurant de savoir qu’il emprunte les chemins de ce que certains nomment mes «excentricités». Par exemple, il ne copie jamais de photos, dû à la distorsion que cela produit (une photo copiée, ça paraît toujours). Et ensuite, ses crayonnés se limitent le plus souvent à quelques indications scéniques (attendez de voir les miens, c’est du bonhomme allumette).
Mais aussi, et surtout, c’est incroyablement motivant de revoir, années après années, les copains de la BD qui perdurent et persévèrent.
Le front froid, qui publiaient cet année leur deuxième opus, toujours de grande qualité.
Luca Jalbert, lui-même personnage de bande dessiné.
Copinet copinot, communiquant leur plaisir sans cesse renouvelé à faire de la BD.
Jean-Sébastien Bérubé, à qui je souhaite la meilleure des chances, il le mérite bien.
Et Joel Sim pour LE BOB, dans un dessin à deux mains sans lequel le festival ne serait pas ce qu’il est.
J’en oublie et j’en passe qui ne sont pas les moindres.
Mais je me console en sachant qu’on se reverra bientôt pour le Rendez-vous des publications parallèles.
jeudi 16 avril 2009
mercredi 15 avril 2009
Délit du carnet d’esquisse…
…Au palais de justice.
À force de dessiner plein de gens, j’ai finis par me trouver une job. En fait c’est pour remplacer Atalante. Je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir conter sur l’illustration juridique, ce n’est pas très fréquent de toute façon, mais dans le moment j’en profite.
Pour jeter un coup d’œil à mes dessins, vous devez aller sur le site de LCN. Je vais vous pointer les pages.
ÇA c’était la première fois que j’y allais. J’avais aucune idée de ce qu’on attendait de moi. Je me suis quand même pas trop mal débrouillée puisqu’on ma rappelé.
ICI j’en ai profité pour juger de ce que ma technique n’était pas tout a fait au point pour un tel exercice.
LÀ c’était un peu mieux, mais il était temps que je réalise que mon pad à dessin est trop petit.
VOICI la dernière. Là je suis satisfaite.
À force de dessiner plein de gens, j’ai finis par me trouver une job. En fait c’est pour remplacer Atalante. Je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir conter sur l’illustration juridique, ce n’est pas très fréquent de toute façon, mais dans le moment j’en profite.
Pour jeter un coup d’œil à mes dessins, vous devez aller sur le site de LCN. Je vais vous pointer les pages.
ÇA c’était la première fois que j’y allais. J’avais aucune idée de ce qu’on attendait de moi. Je me suis quand même pas trop mal débrouillée puisqu’on ma rappelé.
ICI j’en ai profité pour juger de ce que ma technique n’était pas tout a fait au point pour un tel exercice.
LÀ c’était un peu mieux, mais il était temps que je réalise que mon pad à dessin est trop petit.
VOICI la dernière. Là je suis satisfaite.
lundi 13 avril 2009
La veuve orpheline
Et ben voilà…
On se demandait où je m’en allais avec tous mes dessins de modèle vivant. Il semble y en avoir des centaines, ça ne finit jamais, qu’est-ce que je peux bien faire avec tout ça? D’ailleurs la poésie qui les accompagne n’est pas finie.
Voici le but : les papillons.
C’est ma nouvelle collection.
Je découpe mes dessins de modèle vivant, et je les couds ensemble (à la machine ou à la main). Ensuite, je pige quelques phrases ça et là, sur mon blog ou ailleurs. Pour finir, je retravaille les dessins. Résultat : un petit papillon, léger, plein de couleur, un peu fugace et éphémère.
J’en ai fait un peu plus d’une dizaine cette année. Je suis en train de les numériser et je vais tous vous les montrer un après l’autre. Je compte en faire au moins autant cette année avant de me lancer dans le dépôt légal.
La première collection compte trois volumes.
Ce sont les papillons premiers-nés.
On se demandait où je m’en allais avec tous mes dessins de modèle vivant. Il semble y en avoir des centaines, ça ne finit jamais, qu’est-ce que je peux bien faire avec tout ça? D’ailleurs la poésie qui les accompagne n’est pas finie.
Voici le but : les papillons.
C’est ma nouvelle collection.
Je découpe mes dessins de modèle vivant, et je les couds ensemble (à la machine ou à la main). Ensuite, je pige quelques phrases ça et là, sur mon blog ou ailleurs. Pour finir, je retravaille les dessins. Résultat : un petit papillon, léger, plein de couleur, un peu fugace et éphémère.
J’en ai fait un peu plus d’une dizaine cette année. Je suis en train de les numériser et je vais tous vous les montrer un après l’autre. Je compte en faire au moins autant cette année avant de me lancer dans le dépôt légal.
La première collection compte trois volumes.
Ce sont les papillons premiers-nés.
dimanche 12 avril 2009
Océan Jam
L’apprenti relieur rencontrât Mélusine
Et les figures de poupe.
Lors d’un rendez-vous aux «contrepoints des espars»,
Friser l’infinie.
Quand je vais nager, j’aime regarder les autres nageurs évoluer dans l’eau.
Suivre des yeux la trajectoire des petites bulles qui s’entortillent autour de mes propres remous.
Pour moi nager, c’est comme voler.
Évoluer dans un milieu en trois dimension et vaincre la gravité par le souffle.
Trouver l’équilibre entre la lutte et le rêve, suivre le courant, le flatter doucement, respirer
«Aide-toi un tout petit peu, et l’eau te supportera!»
C’est ma version transgressée d’un dictat des siècles.
Deviens léger, sois comme l'eau
Ou sinon coule, et elle se refermera
Pour devenir ton oubli.
Et les figures de poupe.
Lors d’un rendez-vous aux «contrepoints des espars»,
Friser l’infinie.
Quand je vais nager, j’aime regarder les autres nageurs évoluer dans l’eau.
Suivre des yeux la trajectoire des petites bulles qui s’entortillent autour de mes propres remous.
Pour moi nager, c’est comme voler.
Évoluer dans un milieu en trois dimension et vaincre la gravité par le souffle.
Trouver l’équilibre entre la lutte et le rêve, suivre le courant, le flatter doucement, respirer
«Aide-toi un tout petit peu, et l’eau te supportera!»
C’est ma version transgressée d’un dictat des siècles.
Deviens léger, sois comme l'eau
Ou sinon coule, et elle se refermera
Pour devenir ton oubli.
jeudi 9 avril 2009
Dédicaces au Festival de BD
Voici mon horaire pour les dédicaces au Festival de BD de Québec. Vous me retrouverez à l'espace Fanzine.
Vendredi 17 avril
18h-19h
Samedi 18 avril
15h-16h et 18h-20h
Dimanche 19 avril
14h-15h
Vendredi 17 avril
18h-19h
Samedi 18 avril
15h-16h et 18h-20h
Dimanche 19 avril
14h-15h
mercredi 8 avril 2009
Charmante peine
Que faire d’une collection de thèmes incertains?
C’est de la nostalgie sur commande.
Ils s’envolent, ils traînent dans un coin, un cil dans l’oeil.
Morceau de récré, petite brocante, cerceau rouge.
Un peu inutile et presque fanés ou usés par un autre.
Habille moi de ton regard,
Car j’ai perdu le mien.
Un mot que j’aime
Mais je l’ai oublié.
C’est le plus beau
C’est ton nom.
Quand le ciel refermera ses paupières
Pleurera ton visage
J’y goutterai, je m’effacerai
Je serai nul.
Mais c’est seulement ainsi que j’aime.
Merci à Mariette et Marie qui ont posées pour nous aux ateliers de modèle vivant en duo de l'espace Ars Longa.
C’est de la nostalgie sur commande.
Ils s’envolent, ils traînent dans un coin, un cil dans l’oeil.
Morceau de récré, petite brocante, cerceau rouge.
Un peu inutile et presque fanés ou usés par un autre.
Habille moi de ton regard,
Car j’ai perdu le mien.
Un mot que j’aime
Mais je l’ai oublié.
C’est le plus beau
C’est ton nom.
Quand le ciel refermera ses paupières
Pleurera ton visage
J’y goutterai, je m’effacerai
Je serai nul.
Mais c’est seulement ainsi que j’aime.
Merci à Mariette et Marie qui ont posées pour nous aux ateliers de modèle vivant en duo de l'espace Ars Longa.
lundi 6 avril 2009
dimanche 5 avril 2009
Adieu un peu
La nuit dernière j’ai rêvé…
Dans un futur très très lointain…
Il ne reste presque plus rien de l’humanité. Les seuls spécimens encore viables représentent un patrimoine génétique extrêmement instable. Nous vivons tous dans un milieu expérimental contrôlé par des robots qui supportent nos organismes défaillants. Les androïdes (pour la plupart, sinon ce serait trop déprimant) qui veillent sur nous et conduisent les recherches, ont une vie plus humaine. De maîtres, nous sommes devenus cobayes, dans le but de sauver l’espèce.
Mais les cuves aseptisées m’ennuient profondément. J’en ai plus qu’assez de l’existence contrainte et stérile qui est la mienne, je veux vivre comme un robot. Je réussis à atteindre les dortoirs de cyborgs dotés de consciences artificielles et de personnalités (un peu comme les moravecs de Dan Simmons). Je parviens ensuite à attendrir l’un d’eux sur mon sort et je me cache dans sa garde-robe sous une pile de linge.
Mais le robot-gardien qui me recherche est moins sophistiqué, justement pour ne pas que je puisse l’embobiner, et il me retrouve assez vite. Il s’assure que je ne sois pas endommagée :
-«Spécimen toujours viable, ses réactions sont en ordre.»
Il s’en va pour aller chercher l’équipe de récupération.
Je n’ai nulle part où fuir et ils le savent. Je sors par la fenêtre et je grimpe sur le toit.
C’est une nuit sans étoiles. Je m’agrippe de toutes mes forces sur les tuiles, un vent spectaculaire menace à tout moment de me faire chuter. Tout autour de moi n’est que murs froids, parfois semés de fenêtres et de précipices vertigineux.
Je me retourne sur le dos, je regarde le ciel noir, je suis bien.
Par la fenêtre qui diffuse une chaude lumière rassurante, les deux robots m’observent.
Le gardien constate que : «Ses réactions physiologiques sont toujours sous contrôle.»
Quand je serai de retour aux cuves, ils remarqueront que mon escapade aura rendu mon système plus fort.
Dans un futur très très lointain…
Il ne reste presque plus rien de l’humanité. Les seuls spécimens encore viables représentent un patrimoine génétique extrêmement instable. Nous vivons tous dans un milieu expérimental contrôlé par des robots qui supportent nos organismes défaillants. Les androïdes (pour la plupart, sinon ce serait trop déprimant) qui veillent sur nous et conduisent les recherches, ont une vie plus humaine. De maîtres, nous sommes devenus cobayes, dans le but de sauver l’espèce.
Mais les cuves aseptisées m’ennuient profondément. J’en ai plus qu’assez de l’existence contrainte et stérile qui est la mienne, je veux vivre comme un robot. Je réussis à atteindre les dortoirs de cyborgs dotés de consciences artificielles et de personnalités (un peu comme les moravecs de Dan Simmons). Je parviens ensuite à attendrir l’un d’eux sur mon sort et je me cache dans sa garde-robe sous une pile de linge.
Mais le robot-gardien qui me recherche est moins sophistiqué, justement pour ne pas que je puisse l’embobiner, et il me retrouve assez vite. Il s’assure que je ne sois pas endommagée :
-«Spécimen toujours viable, ses réactions sont en ordre.»
Il s’en va pour aller chercher l’équipe de récupération.
Je n’ai nulle part où fuir et ils le savent. Je sors par la fenêtre et je grimpe sur le toit.
C’est une nuit sans étoiles. Je m’agrippe de toutes mes forces sur les tuiles, un vent spectaculaire menace à tout moment de me faire chuter. Tout autour de moi n’est que murs froids, parfois semés de fenêtres et de précipices vertigineux.
Je me retourne sur le dos, je regarde le ciel noir, je suis bien.
Par la fenêtre qui diffuse une chaude lumière rassurante, les deux robots m’observent.
Le gardien constate que : «Ses réactions physiologiques sont toujours sous contrôle.»
Quand je serai de retour aux cuves, ils remarqueront que mon escapade aura rendu mon système plus fort.
vendredi 3 avril 2009
Mémoire allusive
Terre des ancêtres
Pour noyer le papier
Dans un sanglot dormant
Le corps comme trace d’une présence
L’empreinte d’un espace partagé
Le non-dit d’une conversation inventée
Revêtir le temps qui passe
Battre la mesure sans l’écrire
Concerto pour une gouache anticipée
Que respire le sable
Pour ensevelir nos absence ?
Peut-être un roman
Ou bien une page
En pétale de chair.
Merci à Vera et Catherine qui ont posés pour nous aux ateliers de modèles vivant en duo de l'espace Ars Longa.
Pour noyer le papier
Dans un sanglot dormant
Le corps comme trace d’une présence
L’empreinte d’un espace partagé
Le non-dit d’une conversation inventée
Revêtir le temps qui passe
Battre la mesure sans l’écrire
Concerto pour une gouache anticipée
Que respire le sable
Pour ensevelir nos absence ?
Peut-être un roman
Ou bien une page
En pétale de chair.
Merci à Vera et Catherine qui ont posés pour nous aux ateliers de modèles vivant en duo de l'espace Ars Longa.
mercredi 1 avril 2009
L’art de rater
J’ai dessiné un bernard le philanthrope.
La pognez-vous?
Bernard l'ermite … Bernard le philanthrope…
Philanthrope c’est le contraire d’un ermite.
C’est parce qu’au lieu d’être un crabe c’est un chat dans la coquille.
Euh…. Laissez tomber.
Parlant de raté, au fait, ce n’est pas à propos de ma joke, mais bien du dessin.
Ce n’est pas extraordinaire, un tit dessin sans prétention… quelque chose pour perdre du temps durant le vernissage d’Atalante alors qu’il s’occupait de ses clients.
Un jour, j’ai compris une grande chose : «Réussir un dessin, c’est surtout l’art de récupérer ses erreurs.»
En fait, ce ne sont pas toujours de vraies maladresses. C’est surtout que le résultat ne correspond pas toujours avec l’idée de départ. Bien malin serait l’artiste qui prétendrait toujours obtenir exactement ce qu’il projette. Faut donc modifier sa vision pour «faire avec» comme qu’on dit. Ça demande de la souplesse à l’esprit.
Autre chose…
J’ai sortit mon vélo aujourd’hui et j’en ai profité pour aller me planter de façon tout à fait pathétique au parc Lafontaine. Et là non, je ne me suis pas ratée.
La pognez-vous?
Bernard l'ermite … Bernard le philanthrope…
Philanthrope c’est le contraire d’un ermite.
C’est parce qu’au lieu d’être un crabe c’est un chat dans la coquille.
Euh…. Laissez tomber.
Parlant de raté, au fait, ce n’est pas à propos de ma joke, mais bien du dessin.
Ce n’est pas extraordinaire, un tit dessin sans prétention… quelque chose pour perdre du temps durant le vernissage d’Atalante alors qu’il s’occupait de ses clients.
Un jour, j’ai compris une grande chose : «Réussir un dessin, c’est surtout l’art de récupérer ses erreurs.»
En fait, ce ne sont pas toujours de vraies maladresses. C’est surtout que le résultat ne correspond pas toujours avec l’idée de départ. Bien malin serait l’artiste qui prétendrait toujours obtenir exactement ce qu’il projette. Faut donc modifier sa vision pour «faire avec» comme qu’on dit. Ça demande de la souplesse à l’esprit.
Autre chose…
J’ai sortit mon vélo aujourd’hui et j’en ai profité pour aller me planter de façon tout à fait pathétique au parc Lafontaine. Et là non, je ne me suis pas ratée.
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