Peu à peu, et sans que je m’en rende vraiment compte, mes délires se sont transformés pour remplir mon carnet d’esquisse de p’tites bds improvisées.
C’est le plus souvent sans crayonné ni scénario et, dans ce cas-ci, sans aucun sens.
vendredi 29 mai 2009
jeudi 28 mai 2009
L’ambivalence d’une vie
En ouvrant les yeux sur…
On oublie un peu mais…
Qui reviennent toujours si…
Dessiner par le vide
Contourner la forme non née
-Je n’ai pas été vigilante et j’ai pris un turquoise inactinique pour ces dessins, j’ai eu bien du mal à les numériser-
Je devrais faire une expérience.
Dessiner un modèle nu et, sur la même feuille, dessiner une sculpture nue.
Ensuite, je vous demanderais laquelle est la sculpture.
Il y a quelque chose de vivant dans l’immobilité, mais quoi?
Comment le voir sur un dessin, ou le faire ressentir?
Est-ce que dessiner un moulage de corps humain dans le plâtre, c’est un nu ou une nature morte?
Est-ce qu’il naît d’un regard ce qui meurt sur la feuille?
Merci à Mylène qui a posé pour nous aux ateliers de modèles vivants de l’AIIQ.
Pourriez-vous dire où je suis?
On oublie un peu mais…
Qui reviennent toujours si…
Dessiner par le vide
Contourner la forme non née
-Je n’ai pas été vigilante et j’ai pris un turquoise inactinique pour ces dessins, j’ai eu bien du mal à les numériser-
Je devrais faire une expérience.
Dessiner un modèle nu et, sur la même feuille, dessiner une sculpture nue.
Ensuite, je vous demanderais laquelle est la sculpture.
Il y a quelque chose de vivant dans l’immobilité, mais quoi?
Comment le voir sur un dessin, ou le faire ressentir?
Est-ce que dessiner un moulage de corps humain dans le plâtre, c’est un nu ou une nature morte?
Est-ce qu’il naît d’un regard ce qui meurt sur la feuille?
Merci à Mylène qui a posé pour nous aux ateliers de modèles vivants de l’AIIQ.
Pourriez-vous dire où je suis?
mercredi 27 mai 2009
Florès -20
C'est la dernière planche de ce chapitre. Ensuite, il faudra attendre un certain temps avant de revoir Soblevsky et mademoiselle. Ce sont deux personnages que j'avais créés à une époque où il fallait encore que je me cache pour dessiner, c'est à dire au secondaire. Ils n'ont pas vraiment changés depuis le temps, à part qu'ils sont mieux dessinés ;-) Dans mon idée, ils devaient être ensemble. Mais Rok Aubépine était conçue pour évoluer dans un univers de science-fiction alors que pour Soblevsky c'était la fantasy. Ça m'aura prit tout ce temps à trouver comment les faire se rencontrer.
lundi 25 mai 2009
La théorie des cordes.
Brian Greene
L’univers élégant
ISBN : 978-2-07-030280-2
Un livre très inspirant, très instructif et très complexe aussi. Manque un peu de formules mathématiques par contre. Et j’aurais bien aimé en savoir plus sur les transitions de Flop et les transitions conifold. Ça semblait important quoique l’auteur a peut-être manqué un peu d’objectivité là-dessus car c’était son sujet de recherche. Ensuite l'ouvrage demeure obscur sur les cordes de temps et n’aborde pas du tout le sujet des conditions limites aux extrémités des cordes ouvertes (je vous perds là hein:-)).
D’autant plus qu’on se demande un peu ce qui arrive avec le grand collisionneur de Hadron.
J’ai fais certaines trouvailles dans ce livres qui jettent les bases de la suite de ma théorie des univers parallèles que j’avais abordée dans Chimeris –Sirus–.
(improvisation sous le thème d’un espace de Calabi-Yau)
P.329 « Les dimensions spatiales supplémentaires de la théorie des cordes ne peuvent pas se « ratatiner » n’importe comment; les équations de la théorie restreignent sévèrement leur forme géométrique (…) Une classe particulière de formes géométriques six-dimensionnelles pouvait satisfaire leurs conditions. Ces figures sont connues sous le nom d’espace de Calabi-Yau.
« Une variété de Calabi-Yau est une variété de Kähler complexe dont la première classe de Chern est nulle. »
Le Calabi-Yau dont je me suis inspiré est : « Une vraie tranche tridimensionnelle de l’hypersurface de degré 5 du quatre-espace projectif complexe. »
(Ce genre de définition ne me dit absolument rien, mais je trouve ça beau.)
Maintenant, j’aimerais bien trouver un bon livre sur la topologie.
Et en page 572, on évoque une proposition de Lee Smolin, de l’université d’État de Pennsylvanie, que je vais tenter de résumer.
En s’inspirant de la similitude entre les conditions du Big Bang et le centre d’un trou noir, il suggère que « Chaque trou noir serait la semence d’un univers nouveau. » Mais qui nous demeurerait inaccessible car rien ne ressort qui pénètre l’horizon d’un trou noir. De façon générale, un univers ne pourraient engendrer que d’autres univers semblables à lui-même, dans lesquelles les valeurs des masses des composantes élémentaires varieraient juste assez pour influer sur le nombres d’étoiles en effondrement qu’il sera possible de générer : les trous noirs. Et ainsi de suite jusqu’à la création d’un multivers qui ne serait constitué que de portails : ces mêmes trous noirs.
(Bon, j’avoue, j’ai un peu interprété ici pour lui donner un petit accent de science-fiction.)
L’univers élégant
ISBN : 978-2-07-030280-2
Un livre très inspirant, très instructif et très complexe aussi. Manque un peu de formules mathématiques par contre. Et j’aurais bien aimé en savoir plus sur les transitions de Flop et les transitions conifold. Ça semblait important quoique l’auteur a peut-être manqué un peu d’objectivité là-dessus car c’était son sujet de recherche. Ensuite l'ouvrage demeure obscur sur les cordes de temps et n’aborde pas du tout le sujet des conditions limites aux extrémités des cordes ouvertes (je vous perds là hein:-)).
D’autant plus qu’on se demande un peu ce qui arrive avec le grand collisionneur de Hadron.
J’ai fais certaines trouvailles dans ce livres qui jettent les bases de la suite de ma théorie des univers parallèles que j’avais abordée dans Chimeris –Sirus–.
(improvisation sous le thème d’un espace de Calabi-Yau)
P.329 « Les dimensions spatiales supplémentaires de la théorie des cordes ne peuvent pas se « ratatiner » n’importe comment; les équations de la théorie restreignent sévèrement leur forme géométrique (…) Une classe particulière de formes géométriques six-dimensionnelles pouvait satisfaire leurs conditions. Ces figures sont connues sous le nom d’espace de Calabi-Yau.
« Une variété de Calabi-Yau est une variété de Kähler complexe dont la première classe de Chern est nulle. »
Le Calabi-Yau dont je me suis inspiré est : « Une vraie tranche tridimensionnelle de l’hypersurface de degré 5 du quatre-espace projectif complexe. »
(Ce genre de définition ne me dit absolument rien, mais je trouve ça beau.)
Maintenant, j’aimerais bien trouver un bon livre sur la topologie.
Et en page 572, on évoque une proposition de Lee Smolin, de l’université d’État de Pennsylvanie, que je vais tenter de résumer.
En s’inspirant de la similitude entre les conditions du Big Bang et le centre d’un trou noir, il suggère que « Chaque trou noir serait la semence d’un univers nouveau. » Mais qui nous demeurerait inaccessible car rien ne ressort qui pénètre l’horizon d’un trou noir. De façon générale, un univers ne pourraient engendrer que d’autres univers semblables à lui-même, dans lesquelles les valeurs des masses des composantes élémentaires varieraient juste assez pour influer sur le nombres d’étoiles en effondrement qu’il sera possible de générer : les trous noirs. Et ainsi de suite jusqu’à la création d’un multivers qui ne serait constitué que de portails : ces mêmes trous noirs.
(Bon, j’avoue, j’ai un peu interprété ici pour lui donner un petit accent de science-fiction.)
vendredi 22 mai 2009
Nu baroque
C’est grâce à Arka et mon commissaire si cette toile a pu bénéficier d’une nouvelle vie.
Merci à eux de m’avoir poussée pour que je la retravaille.
L’ancienne version est ici.
Acrylique, 3 X 4 pieds.
J’hésitais, j’ai faillis la détruire à plusieurs reprises. J’ai dû refaire complètement le visage et la tête au moins 6 fois. J’en étais à ce point excédé que j’aurais bien voulu la défoncer avec mon pinceau.
Mais ne vous inquiétez pas, elle est intacte.
Maintenant je suis soulagée, et satisfaite. Elle trône fièrement au dessus de mon lit (c’est vraiment la meilleur place pour mettre une telle œuvre).
C’est la première d’une série de 4 peintures sur le nu et les époques.
Merci à eux de m’avoir poussée pour que je la retravaille.
L’ancienne version est ici.
J’hésitais, j’ai faillis la détruire à plusieurs reprises. J’ai dû refaire complètement le visage et la tête au moins 6 fois. J’en étais à ce point excédé que j’aurais bien voulu la défoncer avec mon pinceau.
Mais ne vous inquiétez pas, elle est intacte.
Maintenant je suis soulagée, et satisfaite. Elle trône fièrement au dessus de mon lit (c’est vraiment la meilleur place pour mettre une telle œuvre).
C’est la première d’une série de 4 peintures sur le nu et les époques.
jeudi 21 mai 2009
Les brumes canicules
Enfants de la dune
Les filles de la soif
Et les couvres-lune.
Goutte ce fruit et tu sauras si
Lorsque la vie se meurt
La mort le peut aussi.
Elle trépasse, repassera
À l’amble d’une chimère
Ou seulement sera.
Merci à Mylène et Sabine qui ont posé pour nous aux ateliers de modèle vivant en duo de l’espace Ars Longa.
Les filles de la soif
Et les couvres-lune.
Goutte ce fruit et tu sauras si
Lorsque la vie se meurt
La mort le peut aussi.
Elle trépasse, repassera
À l’amble d’une chimère
Ou seulement sera.
Merci à Mylène et Sabine qui ont posé pour nous aux ateliers de modèle vivant en duo de l’espace Ars Longa.
mercredi 20 mai 2009
Elle migre
lundi 18 mai 2009
Le Rendez-Vous des Publications Parallèles 2009
Le plus important salon de publications indépendantes à l’est de Montréal. L'entrée est gratuite!
J'y serai, c'est à ne pas manquer!
Samedi 23 mai de 11h à 18h - Église St-Jean-Baptiste à Québec - 470 rue St-Jean (au sous-sol)
Pour plus d'informations, ICI c'est leur site web.
J'y serai, c'est à ne pas manquer!
Samedi 23 mai de 11h à 18h - Église St-Jean-Baptiste à Québec - 470 rue St-Jean (au sous-sol)
Pour plus d'informations, ICI c'est leur site web.
dimanche 17 mai 2009
Sar-Assa
La légende de l’avalée de la mort.
Le sol est trop dur pour creuser. Il s’effrite, les repères tombent durant la nuit et, au matin, le trou n’existe plus. Les montagnes auront bougé et la boussole s’emmêle. Ceux qui le cherchent seront maudits et les autres l’ignoreront à jamais. Les petites sœurs de la vallée de la mort, ont enseveli leur secret.
On appelle la sœur supérieure, Sar-Assa, La maîtresse du labyrinthe. Elles sont les servantes de l’ombre innommable : la perdante. (Quel est le nom de ton ombre ?)
La vocation des saers.
Échec à la reine
Ma sœur
Maintenant c’est à mon tour de jouer.
Sar au repos
Imagine
Ce que se serait
Le jeu immortel
Merci à Sarah, qui a posé pour nous dans l’atelier chez Claude.
Le sol est trop dur pour creuser. Il s’effrite, les repères tombent durant la nuit et, au matin, le trou n’existe plus. Les montagnes auront bougé et la boussole s’emmêle. Ceux qui le cherchent seront maudits et les autres l’ignoreront à jamais. Les petites sœurs de la vallée de la mort, ont enseveli leur secret.
On appelle la sœur supérieure, Sar-Assa, La maîtresse du labyrinthe. Elles sont les servantes de l’ombre innommable : la perdante. (Quel est le nom de ton ombre ?)
La vocation des saers.
Échec à la reine
Ma sœur
Maintenant c’est à mon tour de jouer.
Sar au repos
Imagine
Ce que se serait
Le jeu immortel
Merci à Sarah, qui a posé pour nous dans l’atelier chez Claude.
samedi 16 mai 2009
Les essences rétives
vendredi 15 mai 2009
Le café lézard
C’est sur Masson, un endroit bien sympa.
Un peu comme dans la toune de Vincent Vallières. À chaque fois que je l’entend, c'est ça que je vois. Ça ne m’est jamais arrivé d’aller prendre un café et puis, tout à coup, quelqu’un rentre que j’aimerais beaucoup voir, et vient s’installer à ma table pour jaser. J’imagine que ça arrive assez peu souvent aux gens, dans l’ensemble. Ça doit être pour ça qu’on en fait des chansons.
Un peu comme dans la toune de Vincent Vallières. À chaque fois que je l’entend, c'est ça que je vois. Ça ne m’est jamais arrivé d’aller prendre un café et puis, tout à coup, quelqu’un rentre que j’aimerais beaucoup voir, et vient s’installer à ma table pour jaser. J’imagine que ça arrive assez peu souvent aux gens, dans l’ensemble. Ça doit être pour ça qu’on en fait des chansons.
mercredi 13 mai 2009
lundi 11 mai 2009
dimanche 10 mai 2009
Poème natation
Les vers libres seront une fonction déroutante. Le rythme théâtral devra s’accommoder d’un cloisonnage câblé en canal. Les pieds ne sonneront bien que sous la diversification des battements, en palme ou en rafale. Le souffle occasionnel, bien que ponctuant le geste, sera léger.
Le corps du texte est presque nu. Il glissera sans heurt, coulera en se faufilant, devenant la frontière de son élément. Il se peut que la main ne puisse tout retenir. Dans ce cas, elle doit accompagner le mouvement sans le forcer.
Les points d’ancrage de la théorie retiennent deux îlot formatifs :
-Demeurer à la surface : Question de portance et de délivrance. La méthode s’inspire du vol plané. L’équilibre et la souplesse de l’élément sont des qualités induites et projectibles.
-Revenir sur soi : La relecture pondère la mesure sans la répétition. La technique de la vrille propose une expiration contrôlée, de façon à ne pas avaler ses mots.
La finale s’écoulera d’elle-même lorsque l’inspiration sera épuisée.
Le corps du texte est presque nu. Il glissera sans heurt, coulera en se faufilant, devenant la frontière de son élément. Il se peut que la main ne puisse tout retenir. Dans ce cas, elle doit accompagner le mouvement sans le forcer.
Les points d’ancrage de la théorie retiennent deux îlot formatifs :
-Demeurer à la surface : Question de portance et de délivrance. La méthode s’inspire du vol plané. L’équilibre et la souplesse de l’élément sont des qualités induites et projectibles.
-Revenir sur soi : La relecture pondère la mesure sans la répétition. La technique de la vrille propose une expiration contrôlée, de façon à ne pas avaler ses mots.
La finale s’écoulera d’elle-même lorsque l’inspiration sera épuisée.
vendredi 8 mai 2009
À l’impasse-café
Imagine ce que ce serait d’attendre.
Mais d’attendre quelqu’un que tu n’as jamais vu, dont tu ne sais même pas le nom.
Aujourd’hui, j’ai rendez-vous avec un inconnu.
Peut-être n’arrivera-t-il jamais.
Et tu vas l’attendre combien de temps ainsi?
En inventant des gens qui viennent te payer un café?
À quoi bon puisqu’il arrive à l’instant.
Un peu en retard, dit-il, le bus a eu un accident.
Ce n’est pas grave, puisque maintenant tu es là.
Où irons-nous? te demande-t-il.
Tu lui dis que tu voudrais bien aller dans un endroit
Où les gens ont la peau bleue.
Moi qui allais te proposer Amsterdam, dit-il.
Il est déçu un peu.
Tant pis, ce sera pour une autre fois.
Merci à Mireille et Claudio, qui ont posé pour nous aux ateliers de modèle vivant en duo de l'Espace Ars Longa.
Mais d’attendre quelqu’un que tu n’as jamais vu, dont tu ne sais même pas le nom.
Aujourd’hui, j’ai rendez-vous avec un inconnu.
Peut-être n’arrivera-t-il jamais.
Et tu vas l’attendre combien de temps ainsi?
En inventant des gens qui viennent te payer un café?
À quoi bon puisqu’il arrive à l’instant.
Un peu en retard, dit-il, le bus a eu un accident.
Ce n’est pas grave, puisque maintenant tu es là.
Où irons-nous? te demande-t-il.
Tu lui dis que tu voudrais bien aller dans un endroit
Où les gens ont la peau bleue.
Moi qui allais te proposer Amsterdam, dit-il.
Il est déçu un peu.
Tant pis, ce sera pour une autre fois.
Merci à Mireille et Claudio, qui ont posé pour nous aux ateliers de modèle vivant en duo de l'Espace Ars Longa.
mercredi 6 mai 2009
Le tragédien inconnu
mardi 5 mai 2009
L’énigme de la sœur imaginaire
Elles ont grandit ensemble pourtant, l’une d’entre elles n’existe pas.
Ce n’est pas un reflet du miroir, même pas une ombre.
Ni même une conscience, un dialogue interne ou une seconde personnalité.
Elle n’est pas son amie.
Pourtant, tous ses amis sont aussi les siens.
Et elle ne partage jamais.
Elle met le même linge que l’autre.
Le morceau qu’elle met, l’autre l’enlève.
Mais elles apparaissent toujours vêtues de la même façon.
Merci à Magalie qui a posée pour nous à l’AIIQ.
Ce n’est pas un reflet du miroir, même pas une ombre.
Ni même une conscience, un dialogue interne ou une seconde personnalité.
Elle n’est pas son amie.
Pourtant, tous ses amis sont aussi les siens.
Et elle ne partage jamais.
Elle met le même linge que l’autre.
Le morceau qu’elle met, l’autre l’enlève.
Mais elles apparaissent toujours vêtues de la même façon.
Merci à Magalie qui a posée pour nous à l’AIIQ.
lundi 4 mai 2009
Chimeris aux Bédélys
Je le savais moi, que mes BDs elles étaient excellentes. C’est bien la raison pour laquelle je mets autant de travail dessus.
Une seconde nomination pour Chimeris –Sirus– le prix Bédélys Fanzine.
La remise des prix Bédélys 2008 aura lieu lundi le 11 mai 2009, dans l'auditorium de la Grande Bibliothèque du Québec, à 17 h 30.
Aperception. - Mot créé par Leibniz et employé par ce philosophe pour signifier la conscience de ce qui se passe dans l'âme. Kant s'est aussi servi de ce mot en lui donnant le même sens. Il y a cependant une grande différence entre les doctrines de ces deux philosophes; l'aperception, suivant Leibniz, nous informe des perceptions qui nous représentent le monde extérieur; mais, suivant Kant, l'aperception, en nous instruisant de nos pensées, de nos jugements, nous montre seulement des phénomènes qui ne représentent en rien les réalités, mais, qui sont de pures formes de l'entendement; si l'entendement était autrement conformé, il verrait peut-être les choses d'une autre manière.
Dans la série «On-n’avait-rien-demandé-mais-merci-quand-même» :
Faites-moi un jeu de mot avec «carnet d’esquisse. »
-Je connais un acteur qui, dans sa jeunesse, incarnait des schizophrènes. (Arka)
Envoyez-moi vos suggestions !
Une seconde nomination pour Chimeris –Sirus– le prix Bédélys Fanzine.
La remise des prix Bédélys 2008 aura lieu lundi le 11 mai 2009, dans l'auditorium de la Grande Bibliothèque du Québec, à 17 h 30.
Aperception. - Mot créé par Leibniz et employé par ce philosophe pour signifier la conscience de ce qui se passe dans l'âme. Kant s'est aussi servi de ce mot en lui donnant le même sens. Il y a cependant une grande différence entre les doctrines de ces deux philosophes; l'aperception, suivant Leibniz, nous informe des perceptions qui nous représentent le monde extérieur; mais, suivant Kant, l'aperception, en nous instruisant de nos pensées, de nos jugements, nous montre seulement des phénomènes qui ne représentent en rien les réalités, mais, qui sont de pures formes de l'entendement; si l'entendement était autrement conformé, il verrait peut-être les choses d'une autre manière.
Dans la série «On-n’avait-rien-demandé-mais-merci-quand-même» :
Faites-moi un jeu de mot avec «carnet d’esquisse. »
-Je connais un acteur qui, dans sa jeunesse, incarnait des schizophrènes. (Arka)
Envoyez-moi vos suggestions !
dimanche 3 mai 2009
Inscription à :
Articles (Atom)