jeudi 4 juin 2009

Prosopopée d’esquamatique des moniales pétrographes


(Image d’archive inédite, 2006)



Deuil…. Et conséquences.
Qu’est-ce qui meurt dans la vie quand meurt la vie?
Qu’est-ce qui est le plus réel entre la peau abandonnée d’un serpent, et son âme nouvelle?
Qu’est-ce qu’on en sait?
Qu’est-ce qu’on en voit?

Il était une fois et, à la fois il n’était pas…
Pour un autre, les étoiles s’éteignent

Mais de ceux qui restent, pendus comme les pierres
Celles qui tombent
Nous tomberons tous

Et un jour, pour ouvrir les yeux
Ce sera trop tard
Une grande fatigue

De deuil en écueil
Puisqu’il s’écaille
Et le souvenir
Jusqu’à ce qu’il s’efface.

Aucun commentaire: