Le spectacle est bon mais on ne voit rien et la musique est trop forte.
Je me suis noyée dans une sangria et les créatures de l’indicible delirium ont broyé ma raison pour s’en distiller une liqueur d’ichor. Me voici qui revient avec, dans l’iris de mes yeux, les disques tordues du cortex abyssale : le gigantesque cerveau qui palpite sous les failles tectoniques. Celui qui dort d’un sommeil d’argile. Et quand il rêve, le soleil se lève.
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