dimanche 31 janvier 2010
vendredi 29 janvier 2010
mercredi 27 janvier 2010
Sommeil en vadrouille
Tonnelle et sang de dragon
-l’invite d’un monde différent-
Archives 2008
I’d like to see in their bones
J’allais à l’épicerie à quelques parts aux États-Unis, en passant par les toits avec ma bicyclette. J’ai croisé un soldat qui avait acheté le lapin gonflable en stainless de Jeff Koons et le transportait en le serrant contre lui dans sa vareuse.
Archives 2007
Claudio et Astor, dans leur restaurant grec, possèdent une machine à prédiction très perfectionnée. La précision des prophéties est mesuré en termes de Cassandre. Leur dispositif peut atteindre une performance de plus de 2000 Cassandres.
Archives 2007
-l’invite d’un monde différent-
Archives 2008
I’d like to see in their bones
J’allais à l’épicerie à quelques parts aux États-Unis, en passant par les toits avec ma bicyclette. J’ai croisé un soldat qui avait acheté le lapin gonflable en stainless de Jeff Koons et le transportait en le serrant contre lui dans sa vareuse.
Archives 2007
Claudio et Astor, dans leur restaurant grec, possèdent une machine à prédiction très perfectionnée. La précision des prophéties est mesuré en termes de Cassandre. Leur dispositif peut atteindre une performance de plus de 2000 Cassandres.
Archives 2007
lundi 25 janvier 2010
Ava -52
Vous aurez sûrement remarqué que mes dernières planches sont moins travaillées que les premières. Je dois mes plus plates excuses à ceux qui le déplorent.
Très chers lecteurs, j’aurais honte de vous prendre pour acquis ou de croire que je peux vous satisfaire avec n’importe quoi. Je regrette ce que j’observe sur mes planches et j’espère simplement que vous ne méprisez pas trop mon travail.
dimanche 24 janvier 2010
Dîner avec des inconnus
C’est ce que ça donne, quand on ne sait pas ce qu’on mange, c’est peut-être n’importe quoi. De là à dire que c’est probablement le doigt du cuistot, ou alors sa cuisse, je n’irais probablement pas m’aventurer jusque là. Mais c’était peut-être celui de sa femme, ou de sa maîtresse. Comment savoir? Qui sait si ce n’était pas une sirène?
Pavé de saumon braisé à la pouraviole et beurre de gonze, tatarois de vignousse confites saupoudrée de corustine finement poilée sur un coulis de verte-brocanne.
Pavé de saumon braisé à la pouraviole et beurre de gonze, tatarois de vignousse confites saupoudrée de corustine finement poilée sur un coulis de verte-brocanne.
vendredi 22 janvier 2010
Les elphydes aux ramures stellaires
Les elfes du crépuscule sont des créatures à la peau mauve étoilée et une ramure pousse sur leur front. Ils traversent la forêt d’émeraude dont les feuilles pleurent lorsqu’il fait noir. C’est le territoire des elfes verts. Ils doivent se cacher dans les broussailles lorsque le convoi de la reine des sylves croise leur route. La fée feuille cristalline s’est assise sur une haute ramure. Lorsqu’une goutte d’eau tombe sur sa peau, elle brille blanche et bleu doucement turquoise. Et cette larme, s’égouttant de son pied, tombe jusque dans la gorge de la reine des elfes. Son regard s’éveille et elle voit les elphydes nocturnes qui se sont figée tout autour du sentier. Ils ne sont même pas cachés.
jeudi 21 janvier 2010
mercredi 20 janvier 2010
lundi 18 janvier 2010
L’appétit des femmes fatales
Nourrir de faim :
On préfère quand les jolies femmes sont stupides.
Pourtant, on prétend que le fruit de la connaissance fut apporté à l’homme par une femme.
Exposée à l'USINE 106U, 160 ROY.E, Montréal.
On préfère quand les jolies femmes sont stupides.
Pourtant, on prétend que le fruit de la connaissance fut apporté à l’homme par une femme.
Exposée à l'USINE 106U, 160 ROY.E, Montréal.
vendredi 15 janvier 2010
mardi 12 janvier 2010
Rêvasser entre les lignes
Par les runes du lion, j’ai tiré la prédiction de l’arbre enflammé.
Archives 2008, idée de peinture jamais faite.
Je fais un voyage en Chine. Je suis assise sur la plage, sidérée par la beauté du paysage. Le sable blanc est infini, comme le ciel et la mer d’un bleu profond. Au loin, il y a des montagnes dans les nuages et les manèges de Coney island. Il faut se mettre à l’abri de la pluie brûlante. Je cours à la suite d’une jeune chinoise qui me guide au cœur des mangroves. Je suis vite à bout de souffle mais elle prend plein de détours inutiles alors je la rattrape facilement en prenant un chemin plus droit. Elle me conduit dans un très beau jardin au milieu des marécages. Un bassin d’eau turquoise sombre et inquiétant communique avec la mer par un chenal souterrain. C’est pour cela qu’on y trouve des dauphins-lugas si doux et très vieux à la peau ridée. Pour souper, nous mangeons des fleurs carnivores colorées, des scarabées brillants bleus et mauves, des larves, des asticots, des œufs de fourmis et de termites. Les gens vont méditer dans le jardin. Ils se baignent dans les marais et se roulent dans les galets qui collent à leur peau. Je vais nager dans le bassin où flottent aussi des cadavres humains en décomposition. C’est le cycle de la vie. La mort alimente les créatures qui nagent dans les profondeurs de l’inconscient. Le père va à la chasse. Un serpent me poursuit dans le jardin. J’appelle à l’aide mais personne ne vient à mon secours. Il va me mordre. Je vais mourir et j’irai nourrir les poissons avec les cadavres des autres voyageurs.
Archives 2008, dessin automatique.
Les naufragées du temps de souèvre.
Noir le sang de la terre. C’est en le buvant que la navigatrice du bateau volant est tombée sur le sol. Elle était si vieille qu’elle s’est cassée.
Archives 2007, icône délaissé.
Archives 2008, idée de peinture jamais faite.
Je fais un voyage en Chine. Je suis assise sur la plage, sidérée par la beauté du paysage. Le sable blanc est infini, comme le ciel et la mer d’un bleu profond. Au loin, il y a des montagnes dans les nuages et les manèges de Coney island. Il faut se mettre à l’abri de la pluie brûlante. Je cours à la suite d’une jeune chinoise qui me guide au cœur des mangroves. Je suis vite à bout de souffle mais elle prend plein de détours inutiles alors je la rattrape facilement en prenant un chemin plus droit. Elle me conduit dans un très beau jardin au milieu des marécages. Un bassin d’eau turquoise sombre et inquiétant communique avec la mer par un chenal souterrain. C’est pour cela qu’on y trouve des dauphins-lugas si doux et très vieux à la peau ridée. Pour souper, nous mangeons des fleurs carnivores colorées, des scarabées brillants bleus et mauves, des larves, des asticots, des œufs de fourmis et de termites. Les gens vont méditer dans le jardin. Ils se baignent dans les marais et se roulent dans les galets qui collent à leur peau. Je vais nager dans le bassin où flottent aussi des cadavres humains en décomposition. C’est le cycle de la vie. La mort alimente les créatures qui nagent dans les profondeurs de l’inconscient. Le père va à la chasse. Un serpent me poursuit dans le jardin. J’appelle à l’aide mais personne ne vient à mon secours. Il va me mordre. Je vais mourir et j’irai nourrir les poissons avec les cadavres des autres voyageurs.
Archives 2008, dessin automatique.
Les naufragées du temps de souèvre.
Noir le sang de la terre. C’est en le buvant que la navigatrice du bateau volant est tombée sur le sol. Elle était si vieille qu’elle s’est cassée.
Archives 2007, icône délaissé.
lundi 11 janvier 2010
samedi 9 janvier 2010
vendredi 8 janvier 2010
mercredi 6 janvier 2010
Institut d'études de la famille
Déduction (Logique) : la faim justifie les moyens.
Induction (Consilience) : résilience consentante.
Abduction (Épistémologie) : abolition d’estime.
Cruauté à domicile, par Par Brendan Connell dans Horrifique #68
Induction (Consilience) : résilience consentante.
Abduction (Épistémologie) : abolition d’estime.
Cruauté à domicile, par Par Brendan Connell dans Horrifique #68
dimanche 3 janvier 2010
vendredi 1 janvier 2010
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