dimanche 24 janvier 2010

Dîner avec des inconnus

C’est ce que ça donne, quand on ne sait pas ce qu’on mange, c’est peut-être n’importe quoi. De là à dire que c’est probablement le doigt du cuistot, ou alors sa cuisse, je n’irais probablement pas m’aventurer jusque là. Mais c’était peut-être celui de sa femme, ou de sa maîtresse. Comment savoir? Qui sait si ce n’était pas une sirène?



Pavé de saumon braisé à la pouraviole et beurre de gonze, tatarois de vignousse confites saupoudrée de corustine finement poilée sur un coulis de verte-brocanne.

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