mardi 16 août 2011

Une pierre peut-elle mourir?



Le silence s’est levé.
Dessiner le soir auprès du feu, dans la forêt, sur le bord d’un lac, c’est ma version du paradis.
Pas de téléphone, pas d’internet et LE SILENCE…
Un silence immense, gigantesque, sublime, superbe. Un silence qui enveloppe tout. Jusqu’à ce qu’on devienne silence soi-même et qu’on retrouve la paix.
L’hiver, les gens vont dans le sud. Moi, l’été, je vais dans le nord.

2 commentaires:

anonyme a dit…

Dans le silence on trouve la voie intérieure, celle qui mène à tout ;-)

Adeline Lamarre a dit…

On retrouve aussi la voix intérieure, celle qui nous ramène à ce que l'on aime.