mardi 27 octobre 2009

La Cité Macro-mégalophage

La pensée du jour :
«Établir une échelle de crédits virtuels accordés selon la valeur et la pertinence de l’information distribuée sur Internet redonnerait le goût aux gens d’aller à l’école.»

Image d’archive, 2005


Et les artistes comme moi, on serait un peu moins dans la misère, on aurait plus d’énergie pour entretenir l’espoir donc davantage pour le partager. Ça nous permettrait de faire un peu moins de déchet que de mettre nos richesses en commun. Et en plus ça pousserait les gens à réfléchir sur ce qu’ils divulguent et compulsent sur le net.

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Merci pour cette idée. En attendant, j'ai cliqué une couple de fois sur les liens des pubs en bas de ton blog. Si tous tes visiteurs faisaient ça...

Ben

Anonyme a dit…

Oh et merci pour l'image. Très belle comme d'habitude ;)

Romano a dit…

D'accord avec Anonyme n°2, cette illustration est superbe (bien que je la trouve angoissante à la fois, quand même...) mais j'adore ;-) !

Adeline Lamarre a dit…

Merci Ben, Merci Romano…
L’image me représente.
Privée de mes bras : je ne peux agir.
Sans mes jambes : je ne peux m’enfuir.
Décapitée : nul ne tient à entendre ce que j’ai à dire.
Ce qui sort de mon ventre : ma création, mon oeuvre qui se dilue dans le monde dans le désintérêt général.
On voudrait que je ne sois qu'un beau corps de femme.
Les cheminées crachant la fumée représentent ce qui me dissimule m’enterre et m’empoisonne. Se perdre dans la combustion. Consommer tout et n’importe quoi, pourvue qu’on n’ait pas à réfléchir à cette simple question que tous le monde se pose : « Pourquoi suis-je malheureux ? »
Moi, je détiens quelque chose de très précieux. Et les gens le savent quand ils voient cette leurs dans me yeux, qu’ils font tout pour étouffer.
Je m’épuise et je m’amenuise mais je vais lutter jusqu’au bout avec toute mon énergie.

xavier a dit…

protège le à tout prix