Malheureusement, c’est aussi le cas des insectes. Et je vous avouerais que je me sens un peu moins d’affinités avec cette espèce.
C’est toujours poétique d’aller s’installer en dessous d’un saule pleureur. Mais après un peu plus d’une heure de dessin, j’étais littéralement recouverte de bibittes. J’ai même dû chasser des araignées qui se balançaient au bout de leur fils pendus sur mon chapeau.
Les canards dorment souvent là et je me sentais coupable de les déranger. Mais ils ne semblaient pas trop m’en vouloir. Ils se sont ensuite tellement approchés que j’ai crains de me faire avertir de ne pas nourrir les animaux.
2 commentaires:
belle histoire!
Merci
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