Quand je sens ton souffle frémir, je crie.
Apostrophe aux déesses troublantes.
Elles sont la lune et légion,
Prisonnières de tes seins,
Opale obscure si close.
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La première d'une série de dessins érotiques, abandonnée faute de temps. Elle n'a qu'une seule soeur, que je vous montrerai un jour ... plus tard.
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