Je m'inspire de tout. De ce que je vois, de ce que j'aime, de ce qui me fait peur ou de ce qui est trop difficile, de ce que je voudrais être.
J'imagine l'absence dans une musique que nul ne sait danser.
Mais c'est déjà trop.
Il n'y a pas de frontière à l'océan de ce monde.
J'invente la soif d'une épave.
Tu n'es pas là.
J'attends.
Non, tu ne viendras jamais.
Je repose.
J'ai déjà oublié.
Le parfum des glaciers.
Merci à Michel qui a posé pour nous à L'AIIQ.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire