Des poutres entassées dans un champ d’immondice miment la forme d’un crematorium.
Une plaine de terre verte s’étant à perte de vue, monotone et stérile.
Coupé par des vagues d’océan rouge, le ravin s’enfonce dans l’écume.
Mais le train court toujours.
Qu’il nous emporte, nous ne regarderons plus derrière.
lundi 14 juillet 2008
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