Comme un pauvre veille aux noces grises.
Son habit de cendres est repassé.
Il a baillé d’un seul œil.
Quand la main s’ouvre sur un petit oiseau.
Les aunes mortes ne mesurent plus.
Elles tanguent.
Les ombres saluent la pierre.
samedi 19 juillet 2008
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