Regardant le vert se fondre en lui, pour l’éternité
Attendant la lumière du dernier crépuscule
Il aurait vu, du fond des temps, des esclaves aux yeux d’or
Un vieille panthère, blessée, qui meurt seule.
Une petite improvisation à main levée, plume et encre.
3 commentaires:
organique
J'ai beau le plaindre, ce pauvre Alphonse, je l'aime beaucoup, cette improvisation.
Mais oui, pauvre petit. Il est tout seul, prisonnier d'une frise inconnue dans une ville engloutie. Les poissons ne sont pas très jasants. Je trouvais qu'il faisait pitié un peu.
Merci beaucoup les amis. Je suis de retour sur le blog, de retour sur terre. J'ai presque terminé ma commande, je vais pouvoir recommencer à vivre pour autre chose que ça. Ça fait quand même du bien de prendre un break de blog de temps à autre, même si c'était involontaire.
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