L'anniversaire des statues tombe un jour d’examen
Je déteste quand elle me tourne autour, regarde son reflet dans le miroir, ne peut pas voir derrière. Cette guêpe furibonde a déjà piqué mon index. Une statue différente pose ses pieds froids sur ma tête quand j’observe le dos tourné. Prendre en nouveau départ ton élan sur moi, je ne peux pas t’en vouloir.
Le vêtement rend ma chair plus dure, vois comme il me déshabille. Et avec lui mon visage change de journée. Il ne fait plus assez clair maintenant pour choisir, de toute façon. J’hésite, j’obsède, je ne sais plus quoi me mettre.
Où étais-tu quand je t’attendais vraiment? Les heures changent de pose juste pour finir. Et moi je m’impose le souffre d’une horloge malade. Ombré, le silence démarche à coup de tact. Si on ne veut rien me dire, je sais déjà pourquoi.
Merci beaucoup à Myra dont les poses m'ont inspirés ces compositions l'automne dernier.
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