mercredi 2 décembre 2009

Zone de sommeil



Rêves en vrac :

Je suis dans un grand restaurant. J’y mange un saumon sauce au beurre d’arachide et pour dessert une crêpe au Nutella et banane. Ce n’est pas très bon, sec et dur, ça ne goûte rien. Pourtant la facture s’élève à plus de 200$.
Je me dis que les gens ne sont tellement plus habitués de se faire à manger qu’on peut leur servir n’importe quoi et ils acceptent de payer le gros prix.
La serveuse demande à ce que mon conjoint ne se fasse pas influencer par mon opinion. Je lui dis que ça fait assez longtemps que nous sommes ensemble pour qu’il puisse m’aider à défendre mes opinions sans changer les siennes.


Dans la salle à manger d’un grand hôtel luxueux, on nous sert un fromage qui a le pouvoir de goûter ce qu’on désire le plus manger. Pour moi ça ne fonctionne pas, il ne goûte que le gras dégueulasse. Ensuite, si on entend quelqu’un jouer du piano, nous allons devenir fou. Un musicien entre dans la salle et va s’installer au piano. Je suis la seule à pouvoir m’enfuir mais j’ai oublié ma sacoche avec les clés de ma chambre. Je me perds dans les corridors pour retourner la chercher mais j’aboutis dans une gigantesque salle d’hydrothérapie. Toutes sortes de gens, hommes, femmes, jeunes, vieux, enfants, se font masser, tremper, frotter, brosser dans d’étranges combinaisons noires à capuches qui les recouvrent entièrement sauf les mains et les pieds.


Je suis allé porter le bac de récupération au bord du chemin mais c’était vraiment loin, à plus d’une heure de marche et c’était l’hiver. Pour remonter chez moi j’avais bien du mal car la pente était entièrement glacée. Je devais me faire des prises avec des pierres et une meute de loup me poursuivait. Je réussis à assommer le premier loup avec mes deux pierres. Les autres loups l’ont mangé.


Je voulais faire des barres granola, mais c’était tellement compliqué. Nous étions en apesanteur. Les céréales et les noix flottaient partout. C’était le méga-mess.


Une fille anorexique hospitalisée se suicida en mangeant ses draps. Elle avait la bouche en sang. Son ventre enfla et à mesure qu’il grossissait on put voir qu’il était fait de mailles tricotées. Elle s’était transformée en poupée de chiffon et dévorait tout le tissus qu’elle trouvait. Elle avala le beau châle au crochet que sa grand mère était en train de faire.

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