C’est la fin du monde et il fait très chaud.
Il n’y a plus assez d’oxygène dans l’air pour respirer. Même si nous sommes
dans un souterrain, il faut mettre un masque. Mais je ne parviens pas à ajuster
le miens. Nous sommes des chirurgiens dans un hôpital et nous devons opérer une
jeune japonaise pour lui remplacer ses organes par des parties artificielles en
caoutchoucs. J’ai le mode d’emploi entre mes mains et c’est comme un livre de
recette. Chacune des opérations porte le nom d’une pâtisserie sauf que les ingrédients
sont des viscères et des vaisseaux sanguins que nous devons remplacer, modifier
ou toucher d’une quelconque façon.
vendredi 26 avril 2013
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