dimanche 22 septembre 2013

C'est la faute au docteur



Mon peuple combat une armée de chevaliers. Nous sommes dans une ville fortifiée médiévale mais nos armes sont toutes de fer blanc ou en aluminium. Elles vont se tordre au moindre impact. Je dis à mes soldats que nos ennemis ignorent la mauvaise qualité de nos armes. Mon discours est enthousiaste et je veux motiver mes troupes à attaquer avec le plus de conviction et d’ardeur possible. Il faut impressionner l’adversaire et tenter de les désarmer en utilisant l’effet de surprise. Criez fort pour les impressionner et emparez-vous de leurs armes! Nous pourrons ensuite les faire fondre pour s’en fabriquer des nouvelles.

J’ai une amie zombie. Sa peau est verte et ses bras ont été arrachés. Il faut la nourrir et je lui offre de mon sang mais ni elle ni moi ne sommes vraiment d’accords avec cette solution car cela va me transformer en zombie moi aussi. Nous conduisons un canot dans les mangroves. Je saute à l’eau mais à cet endroit, le fond est très haut. Je suis debout sur un monticule de linge empilé au fond de l’eau. Ce sont les vêtements de tous les enfants qu’elle a dévoré.

Et nous sommes toutes les deux domestiques chez Hitler. Je fais le ménage d’un grand congélateur rempli de galettes de pommes de terre. Un officier au bureau d’accueil me demande s’il n’y avait pas davantage de patates avant. Je dis que ce n’est qu’une impression qu’il a, parce qu’elles sont toutes en miettes. Il n’est pas d’accord. Selon lui, c’est la faute au docteur qui occupe la pièce d’à côté. Le congélateur est collé au mur mitoyen et je vois qu’il y a un trou dans la glacière, qui passe à travers la paroi menant au cabinet du docteur.


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