dimanche 27 mai 2012
You take me like a drug negative
Karen Carpenter travaille dans une usine de margarine de maïs. Elle est à bout de nerf et pleure dans l’entrepôt où on fait figer de gigantesques galons d’huile de maïs pour qu’ils deviennent de la margarine.
Son patron, un gros homme gras en complet gris, la console. Il est répugnant. Il sort de sa veste un large écrin de velours bleu sur lequel il a piqué plein de bijoux de perles et de diamant. Il prend une grosse broche en rayon de soleil d’or portant en son centre une forme d’épis de blé d’inde en topaze et l’agrafe au cou de la jeune femme qui est étouffée par le bijou et ne peut plus bouger la tête de peur de se blesser sur les rayons pointus.
Il va l’envoyer en « vacances » sur une ferme dans un grand champ de maïs, pour respirer l’air pur de la campagne.
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