Je suis au stade olympique, à l’extérieur il
ya des grands bassins d’eau turquoise laiteuse et plein d’algues rouges. Je
plonge dedans, je ne sais pas pourquoi mais il le faut. Des avions nous
survolent et parachutent des grosses caisses vertes dans lesquelles il y a des
super-héros. Ils viennent me chercher dans la piscine, bien que je sache très
bien nager et que je n’aie pas vraiment besoin de leur aide. Ils disent que je
suis faible et m’aident à remonter l’échelle, qui est très haute, car le trou
est enfoncé dans la terre par delà deux ou trois étages du stationnement
souterrain.
Je vois une amie qui promène sa petite fille de 2 ans en poussette.
Son enfant a les cheveux verts et bleus. Je me demande quelle sorte de mère
pourrait teindre les cheveux de sa fille si jeune. Mais c’est peut-être
naturel, comme moi mes cheveux verts. C’est un super-héros elle aussi.
La fillette est
amie avec un gros serpent qui est comme le ver des sables à la fin du film Beetlejuice.
Mais je sais que le monstre veut la manger et elle ne m’écoute pas. Il l’envoie
visiter son terrier et pour y entrer la petite fille doit s’enrouler en spirale
tellement serrée qu’on entend ses os craquer. Pendant ce temps le serpent va
pondre un œuf dans mon sac. Je voudrais tuer les serpents dans l’œuf avant
qu’il n’éclose mais je ne peux pas et les serpents se multiplient, il y en a
des centaines qui sortent d’un seul œuf. Mon copain dit que le serpent sera
vulnérable durant sa lactation, quand il nourrira sa progéniture.
Le reptile se
transforme en blaireau et je veux l’enfermer dans la maison mais la fenêtre de
la porte est ouverte et la bête commence à ronger la moustiquaire pour pouvoir
sortir. On ne peut
refermer la fenêtre que de l'intérieur, je dois donc ouvrir la porte pour le faire. Le mustélidé me mord
la main au travers la fenêtre et ne veut pas lâcher prise. Je sais que ça fait
très mal mais je ne bouge pas. Mon ami n’a qu’une paire de petits ciseaux
recourbés pour tailler les ongles et il commence à découper la mâchoire du
blaireau pour me libérer. La bête retombe dans la maison. Il ne reste que les
dents de devant et un bout de mâchoire attaché sur ma main. Je m’en défais
facilement car ils n’ont plus de force. Bien que neutralisé, le blaireau est
encore vivant mais il ne bouge plus. Je peux ouvrir la porte pour baisser la vitre de la fenêtre à guillotine et ensuite refermer le battant.
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