jeudi 18 juin 2009

L’accrochage des peaux

J’ai utilisé mon angoisse pour avoir l’excuse d’être humaine.



Il s’agit d’intervertir les nonpareils et faire de la place aux étranges.



L’œil pour l’œil, l’humain vu par lui-même.



Je ne comprends plus… pourtant… pourquoi?
Dans le vestiaire des femmes au stade olympique il est maintenant placardé en caractères de 5 pouces : « Il est fortement recommandé de vous vêtir d’une serviette quand vous circulez dans le vestiaire »
(Je suis certaine que c’est ma faute)
Et j’ai honte.



Dans les magasines féminins, ils nous disent comment se transformer en poupée de plastique.

Merci à Colette qui a posé pour nous aux ateliers de modèles vivants de l'AIIQ. Nous sommes en relâche pour l'été. De retour en septembre.
Ne manquez pas notre exposition Fleurs de peau au Belgo tout l’été. Vernissage ce soir.

1 commentaire:

Encre a dit…

Adeline, je crois que c'est mon préféré de tous tes billets de modèle vivant.
Enfin, je ne sais pas, en fait je les aime tous, ils ont chaque fois un style différent qui me surprend et me charme.
Incroyable cette aisance que tu as à dessiner. Bravo, j'irai voir l'exposition cet été, c'est bien sûr!