samedi 23 mars 2013

Anaïs du nord




Je suis dans une salle mortuaire égyptienne. Il y a des glyphes sur les murs et le local est partiellement inondé. L’eau est sale, jaunâtre, pleine d’algues gluantes et remplie de déchets. Je suis avec un autre homme et nous faisons un tournage cinématographique.

Mais un alligator gigantesque se promène dans l’eau et mon collègue ne semble pas le remarquer. Je lance des reliques et des pièces de cuivres forgés à l’alligator pour l’assommer et lui faire peur. L’autre homme grimpe sur un mur, s’attache avec une corde sur la paroi à l’aide d’un grappin et utilise l’autre extrémité comme un lasso pour attraper la bête. Il va ensuite la lancer dans la mer que l’ont voit au bout du couloir. Mais comme nous savons qu’elle communique, par des souterrains, avec le local où nous sommes, l’alligator va forcément finir par revenir. Mais pas tout de suite.

J’ai le temps de retrouver les reliques que j’ai lancé à l’eau. Je me souviens où elles sont mais l’eau est tellement saumâtre que j’ai surtout peur d’attraper des sangsues. Le téléphone sonne et je suis toute seule alors je réponds. Une voix à l’autre bout du fil me dit : « C’est Anaïs du nord. Répond, deux fois, répond! » Quand l’autre revient, je lui fais part du message téléphonique et il est heureux que j’ai pu répondre car la personne n’aurait pas rappelée.

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