vendredi 29 mai 2009

Le délire du cordiste

Peu à peu, et sans que je m’en rende vraiment compte, mes délires se sont transformés pour remplir mon carnet d’esquisse de p’tites bds improvisées.
C’est le plus souvent sans crayonné ni scénario et, dans ce cas-ci, sans aucun sens.








3 commentaires:

Marc Bédard Pelchat a dit…

C'est sûrement la pratique qui permet de gribouiller de cette façon. J'essaie d'imaginer les gribouillages que tu fais en parlant au téléphone assez longtemps. J'suis impressionné!

arka a dit…

J'aime particulièrement le dessin de la (fraction de) bibliothèque. Je sais pas pourquoi, mais on voit que tu y étais.

Adeline Lamarre a dit…

Em Kâ Bé...

Merci beaucoup.
Le dessin c'est comme les maths, le seul moyen d'être bon, c'est d'en faire baucoup ;-)
En fait, je ne parle presque jamais au téléphone parce que je déteste ça. Je préfère écrire.